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vendredi 30 novembre 2012

Charles-Edouard CORIDON

Aujourd'hui, pour tous ceux qui regrette cette époque bénie où le PSG achetait tout et nimp' pour jouer sur le pré du Parc. Une époque pas si lointaine où l'on regardait du côté de Lens pour trouver du bon joueur, où Guingamp avait du flair pour découvrir de nouveaux talents. Durant cette époque, Paris se dit qu'il serait bon de recruter notre ami, qui a connu Lens et l'En Avant. Que le bonhomme avec l'air de trainard sera choyé par le Général Halilodzic. Qu'il brillera sous les cieux Parisiens et connaîtra la gloire, son club avec lui. Curieusement, on regarde le mi-homme mi-molette d'un oeil intrigué. Que fait-il ? Pourquoi ne court-il pas ? Sait-il seulement courir ? Une saison. 1 but. Le coup du scorbak de l'ami Higuita. IN-CROY-ABLE. Il se finira en Turquie. Merci pour tout Charles Edouard Coridon. Mais surtout pour le rien.

Charlot. Version 04'

mardi 27 novembre 2012

Tomasz FRANKOWSKI

Aujourd'hui, un striker. Le mec est Polak, débute en 91' à Jagiellionia, et tente de percer à la pointe de la team. 12 matchs en 2 ans, 1 but, et c'est Strasbourg qui l'enrole, dans un pack comprenant aussi des teilles de Vodka. Bon. 3 ans, 21 matchs, 2 buts. L'ami slave se barre au Japon. Au Nagoya, il croise Arsène les bons tuyaux, mais ne reste que 6 mois. Pour 1 but. Il revient en France, joue pour Poitiers, puis Martigues. Il retourne au pays en 1998, il est dans la forme de sa vie. le Wisla en profite, lui fait jouer 173 matchs jusqu'en 05', et lui plante 115 pétards ! Impensable. C'est en star qu'il s'engage à Elche en 05, score 8 fois en 14 matchs, puis se barre chez les Wolves, où il ne marquera pas une fois, en 17 matchs. Tenerife le tente, sans gloire, puis il file à Chicago, sans succès. Il revient finalement à Jagiellonia en 09', et joue pour ses vieux jours... Tomasz Frankowski mais pas au foot.

Fankowski sur la neige...

lundi 26 novembre 2012

Bartholomew OGBECHE

Aujourd'hui, une pensée pour tous les transferts foireux, les tentatives dégueus, les espoirs infondés de notre belle ligue 1. On se penche sur un joueur que fait venir Luis Fernandez au PSG en 01. Il est jeune, sort d'on ne sait où, et doit devenir un serial killer dans les surfaces adverses. Mais de blessures en désinvolture, ce p'tit Nigérian ne fait pas l'unanimité, et est prêté en 04' à Bastia, puis Metz. Il quitte la France après 84 matchs, 9 pions et une étiquette de nulos. Heureusement pour ces footeux, le Moyen Orient lui tend la main, et à Al-Jazira en 05', il se relance : saison à 5 buts. Joli ! Il va ensuite écumer l'Espagne, de Alaves à Valladolild et Cadix, en atteignant la bagatelle incroyable de 9 buts sur une même saison  en 09' ! Il file a Kavala, n'est pas payé, ne marque pas, et découvre Middlesbrough en 2011. Je vous passe les stats. Bartholomew Ogbeche, trouvaille capitale.

Merci Luis, on aurait pas vécu heureux sans connaitre
Bart. A quand Homer ?

samedi 24 novembre 2012

Hugo Miguel Ribeiro LEAL

Aujourd'hui, on reste dans le Portugais. Le mec à pas 17 berges quand il débute au Benfica au milieu. Tout le monde le voit comme la pépite Portugaise. 2 ans après, en 99', le voilà qui débarque à Madrid, chez les Rojiblanco. 1ere saison, et bim ! Descente en segunda. chapeau. 2001, alors qu'il prouve surtout qu'il ne sera jamais ce qu'on espérait de lui, le PSG lui tend la pogne. Il y jouera 60 matchs, marquera 2 buts, se blessera gravement, et sera résilié en 2004. Il choisit de se relancer à Porto. Tant qu'a faire d'être mauvais, autant être aussi un traître. Il joue très peu, est prêté au bout de 6 mois à Coimbra, y joue très peu également, et pense à stopper sa carrière. Il choisira finalement d'écoper les clubs Portugais à la ramasse, entre Belenense, Trofense, Setubal ou Estoril. Hugo Leal eau.

L'association lacet blanc dans les cheveux / posture de coiffeur
ne laissait présager rien de bon pour le PSG...

vendredi 23 novembre 2012

Daniel Da Cruz Carvalho "DANI"

Aujourd'hui, un offensif. Le mec est Portugais, est est issue des jeunes pousses du Sporting. Une bonne plateforme de départ, qui lui permet de débuter chez les pros avec Figo, Sa Pinto, Balakov & Co. Le p'tit prodige est remuant, mais on lui déplore un manque d’efficacité avéré. 96', après 2 saisons, sans finalement trop jouer, il est prêté à West Ham, se fait saquer par Harry Redknapp pour sortie en boite de nuit, péché mignon du footeux foireux (ou pas). Il s'embarque ensuite dans l'aventure Amsterdamoise 4 ans durant, marquant une petite dizaine de pétards en 80 et quelques matchs. Il se fera 6 mois à Benfica puis rejoindra en janvier les matelassiers de Madrid, en D2, sur les conseils avisés de son poto Hugo Leal. Bug de l'an 2000 ou pas, il ne sera bizarrement jamais tranchant, et trop peu décisif. 2003, fin de la mascarade, après avoir échoué dans la trouvaille d'un club à la hauteur de son talent. Dani danette.

Sex Symbol in Amsterdam.

jeudi 22 novembre 2012

Bruno IRLES

Aujourd'hui, défenseur. Il est Français, dispose d'un joli palmarès, et n'a connu qu'un seul club. On pourrait le considérer comme le Paolo Maldini du foot Français, mais, honnêtement, ce serait comme molarder à la gueule du rital. Parce que notre homme, lui n'était pas vraiment une icône indéboulonnable du full back Monégasque. Jugez plutôt : Monaco, 94' à 01', 85 matchs, pas un pion. Flippant. Bruno Irles tomber.

Jérôme Rothen défenseur.

mardi 20 novembre 2012

Lomana Trésor LUALUA

Aujourd'hui, rien que par le nom, on devine qu'on se penche sur sur un Congolais. Entre les Papy, Kiki ou autre Biscotte, y'a de la compète pour l'état civil du pays. Bref, le mec débarque à 9 piges au Royaume de la queen, et débute à Colchester en 98'. Très vite, le voilà qui s'engage chez les Magpies, mais il faut l'avouer, l'échec est cuisant. 9 pions en 88 matchs, c'est pire que les stats d'un défenseur remplaçant. Il a tenter, lors de sa dernière saison, un improbable "si je ne joue pas plus, je pars" ce à quoi Bobby Robson lui a répondu "casse toi" ou "si tu joues plus, je vomis" selon certaines sources non officielles. Le voilà à Portsmouth, de 2004 à 2007, pour 19 banderilles en 91 matchs. Il chope la malaria, re-signe 3 ans, et se tire dans la foulée à Olympiakos. Joli combo. 6 pétard en 30 matchs. Ciao. Prêt à Al-Arabi, nul, retour au Pirée, pauvre, 1 pige à Nicosie, a chier, passage à Blackpool, dégueu. Il joue actuellement à Karabukspor, chez les Turcs. Lomana Tresor LuaLua, brille pas brille pas.

Son spécial trick :
Il retire son maillot en backflip. Du lourd.








Merci à Sot Cisson pour la proposition qui vaut son pesant de cacahuètes.
Sachez par ailleurs que le Lomana à un p'tit frangin qui joue à Newcastle. Bientôt son article ?

lundi 19 novembre 2012

Christophe COCARD

Aujourd'hui, un ailier. Un vrai. Le mec est formé à Evreux, club cher à Bodmer. En 87', il rejoint son club qui lui collera à jamais à la peau : Auxerre. Dans l'Yonne, il va quasi tout connaitre. Les bas, les hauts, les trophées, une demi d'UEFA. Il jouera près de 260 fois pour l'équipe à Roux, plantera 60 pétards, et filera en 96', à 29 berges, à l'OL. Avant que celui-ci soit un dominateur du foot français. Malgré ses courses effrénées sur la ligne de touche, à laquelle certains disent même qu'il est accroché par un câble translucide, il ne va connaitre une franche réussite, puis va se tirer en Ecosse, à Kilmarnock, en 99. 3 saisons aussi, puis, malgré une proposition au Shenshua, sans les moyens d'aujourd'hui, il raccroche. Christophe Cocard ou beurre noir.

Pour faire "comme la ligne de touche".
Ça pique.

dimanche 18 novembre 2012

Reinaldo Rosa Dos Santos "REINALDINHO"

Aujourd'hui, Brasilou des temps modernes. Sombre attaquant formé à Mineiro, le voilà qui débarque à 19 ans, en 95', en Belgique, à Anderlecht. C'est parti pour une carrière qui le verra enfiler 20 maillots différents, dont 18 au Brésil. Une division entière. En revanche, niveau stats, on touche le fond. Ceci explique peut-être cela... Il n'aura que profité de sa participation au mondial U20 de 95' dans une sélection de loosers ou le grand représentants n'est autre que Denilson. Reinaldo Rosa dit Reinaldinho saure.

Brutal. 

vendredi 16 novembre 2012

Nordin JBARI

Aujourd'hui, serial buteur. Non, j'déconne. Le mec est Belge, d'origine Marocaine. Formé à Anderlecht, il ne joue qu'un seul match chez les grands avant de tenter sa chance à Gent, en 96'. Une jolie petite saison à 16 pruneaux l'envoie à Bruges, où il jouera 2 ans avant de se faire remarquer par un Estac de retour dans l'élite du football Français. Mais ses 4 pions en 33 matchs ne lui ouvrent pas la voie de la gloire et son prêt foireux à Salonique ne l'aide pas plus. 2003, c'est à Grenoble qu'il pose ses valoches, ne marque pas mais doit certainement faire du ski, et il se barre très vite à Bruges. Une saison moyenne le fait retourner à Gent. La boucle est bouclée. Et ce n'est pas sa dernière pige à la Louvière qui changera son talent, absent. Nordin Jbari pas un sous.

Chouette, un hibou.

jeudi 15 novembre 2012

Emmanuel BENTIL

Aujourd'hui, sur proposition bien avisée je dois l'admettre, survolons ce joueur Ghanéen, milieu de devoir, qui remporte en la coupe du monde des jeunes en 95' avec le Ghana, brassard au bras. Bingo. Le voilà propulsé au Bayern, accueilli par Sami Kuffour and Co. Mais le rêve devient vite un calvaire, il ne s'adapte pas, supporte pas le chou et les bretzels, et se barre en 2000, sans aucun match joué en pro. C'est parti pour   une carrière clochardisée à grand coup de Kalamata en Grèce, Vladikavkaz en Russie, More en Bulgarie, avant de traverser l'Atlantique pour jouer les cadors à Metapan au Salvador, l'un voir Le pays le plus craignos du monde. L'année d'après, soit en 2007, le voilà qui barroude de nouveau, direction l'Asie. Joli coup, il devient l'un des rares à avoir fait les 4 continents. C'est au Vietnam qu'il pose son baluchon. pas longtemps. 2008, Nazareth. Jesus Christ Superstar se barre ensuite en 2010 au Holywood united, club fondé par des acteurs à la con et dont Francky Lavache fait la promo. Emmanuel Bentil it goes.

Le haut niveau Vietnamien.
Avec Bentil en noir et blanc.


Encore une fois Merci pour vos commentaires, propositions et encouragements.
Pour le gaillard du dessus, merci à Ray Gis !

mardi 13 novembre 2012

Fabio CELESTINI

Aujourd'hui, milieu de terrain. Pas neutre, bien que Suisse, le mec débute en 95' par 5 années à Lausanne Sport. Il devient International Suisse, et se fait repérer par la voisine Ligue 1. C'est Troyes, dans son infinie bonté, qui va le signer. Après 2 ans dans l'Aube, autant que dans la daube, il s'engage dans un club a pression : l'OM. Il va incarner 2 ans durant la loose du sud, et quand son mentor Alain Perrin se fait virer, il se retrouve sur la quille a cause du pitre Anigo. Le voilà qui file en Espagne, à Levante, loose encore. Il jouera ensuite 5 ans à Getafe, dans la banlieue Madrilène, histoire de looser encore un peu. Une finou tout à commencer, pour le meilleur mais surtout le pire. Fabio Celestini, chocolate & loose factory.

Ainsi font, font, font les petites marionnettes...

lundi 12 novembre 2012

Leonardo Angel BIAGINI

Aujourd'hui, c'est d'un buteur dont on va parler. Il est Argentin, débute au Newell's, mais c'est pas Diego les bons tuyaux. Deux saisons chez les grands, entre 93' et 95', 5 petits pions, et le voilà qui débarque chez les matelassiers. Il a 18 berges, il marque pas beaucoup, pour ne pas dire quasi jamais, mais s'octroie le doublé coupe-championnat en 96'. en 1997, il se barre a Merida, marque 1 malheureux but sur malentendu en 27 matchs, et atterrit eux Baléares, à Majorque, en 98. C'est la révélation. 5 ans de contrat, 68 matchs, 13 filoches, des sorties entre plages de sable fin et d'eaux claires aux Disconights d'Ibiza. Ca s'la coule crème pour le bonhomme. Il sera prêté 6 mois à Portsmouth en 02', sera tout aussi médiocre, puis dégagera en 03' pour le Vallecano, Gijon puis Albacete. Jamais une saison à plus de 10 pions dans sa carrière (total atteint une seule fois, la moyenne étant de... 3,78/saison). Il décide de rentrer au bercail en 07, à Arsenal de Sarandi. Leonardo Biagini -mitable.

Ses tentatives capillaires n'y changeront rien...

samedi 10 novembre 2012

Azubuike OLISEH

Aujourd'hui, Nigérian. On va parler ni plus ni moins que du petit frère de Sunday "McDo" Oliseh, donc du grand frère de Egutu, qui aura le droit à son article sous peu. Le garçon est milieu ou défenseur, lui même ne sait pas trop. Après ses débuts au pays, il débarque vite en Europe, via Anderlecht. Peu de matchs, 17 en 4 ans. 99', il se barre à Utrecht, puis en Finlande, puis reviens à Utrecht, descend les échelons de l'Eredivisie, se pose à Chypre et revient en Belgique. Bref, une belle odeur de carrière merdique. Même son pays ne l'estime pas, ne lui offrant qu'une seule sélection, malgré les pleurniches de son frangin. Azubuike Oliseh, pas au collège.

Une mesure d'Oliseh, une goutte de Reiziger,
une pointe de Carl Lewis.
L'assemblage semblait pourtant parfait.

vendredi 9 novembre 2012

Alen BAJKUSA

Aujourd'hui, Bosnien. Formé à Sarajevo, il n'intègre pas les pros et se barre directos, en 92', en Malaisie. Guerre oblige. Il est buteur, mais se fixe une ligne de conduite : il ne marquera jamais vraiment de buts... Sa ligne directrice toute tracée, il s'embarque dans une carrière faite d'exotisme, de foirades, de saisons vierges de toute réalisation et de transferts bidons. 2 ans en Malaisie suivies de 2 autres a Hong-Kong. 96', aussi incroyable que ça puisse paraître, il signe à Caen. Joue 14 matchs en 2 ans et score 2 buts. Suivra la Suisse à Carouge, un retour à Hong-Kong, puis la Hongrie des bas fonds, le Grèce profonde et une fin en Bosnie apaisée. Alen, footeux Bajkusa -gé.

Photo officielle sur le parking d'un
défunt Continent.
Mes respects.


jeudi 8 novembre 2012

Lutz PFANNENSTIEL

Aujourd'hui, une belle propo d'un posteur anonyme. Le mec est Allemand, mais surtout gardien de but. Et après 2 saisons timides en pro, il décide que sa carrière sera triomphante et détiendra un record. Il laisse la gloire aux Kahn et autres Lehmann. Lui il prend une direction différente. Il va devenir le premier joueur à jouer sur les 6 confédérations FIFA. Un exploit. Allemagne, Angleterre, Nouvelle Zelande, Singapour, USA, Brésil, AfSud, Finlande, Malaisie, Belgique, Canada, Namibie, Norvège, Arménie et Albanie. Notre portier a aussi fait de la taule, à Singapour, pour match truqué. Véritable pionnier dans tout ce qu'il entreprend, il va aussi nous faire le coup du claquage sur le pré. En Angleterre, en 02', le gaillard se mange un attaquant en pleine tronche, un choc d'une rare violence. Il arrête de respirer. 3 fois. Mais il s'en remettra. Égérie d'un groupe de déménageur, qu'il sollicitera pas moins de 27 fois durant sa carrière, il soufflera en 2011, après avoir raccroché en Namibie. Mais pour que l'aventure soit belle, il entame sa carrière de coach comme celle de joueur : 7 clubs en 4 ans. Il sévit actuellement comme recruteur à Hoffenheim. Lutz Pfannenstiel, baluchon boy.

Toujours à l'affût, il dormait avec maillot et gants.
Un vrai.





J'en profite pour encore et encore vous remercier pour vos lectures, vos clics, vos commentaires, vos propositions et j'espère bien vous faire rire et vous remémorer ces bons vieux footeux...

mercredi 7 novembre 2012

Gabriel AMATO

Aujourd'hui, un buteur Argentin. Vous croyez sentir bon du Messi ou Batistuta. Que nenni. Notre homme débute en 89', dans un petit club, avant de prendre la direction de Boca dès 91'. 2 pauvres pions auront raison de son statut et le voilà qui file à Independiente, en 92', pour 7 malheureux buts. Même sanction. Huracan ? Idem. Puis River, où il restera 2 ans. Et plantera 13 banderilles. Bref, c'est pas un serial buteur... 96', il est temps de se rendre en Europe. Bonjour l'Espagne et  Hercules. Puis Mallorca la saison suivante. Toujours pour les mêmes motifs. Viennent ensuite les Rangers, où il incarne sans le savoir le prédécesseur d'un certain Caniggia. Mais il ne plante pas plus. Ses tentatives au Gremio, Betis, Levante, Albacete ou encore Banfield n'y changent rien. Il ne marque que très peu, et c'est pourtant ce qu'on demande à un buteur... Gabriel Amato, amateur.

Micka Madar avait une double vie...

mardi 6 novembre 2012

Kaba DIAWARA

Aujourd'hui, french touch. Le bonhomme est issu de la formation Toulonnaise. En 95', après 2 saisons chez les pros, il débarque à Bordeaux qui flair le bon coup. Mais il est barré par le duo de chox Wiltord Laslandes. Il s'accroche, reste 3 ans, dont une année en prêt à Rennes, et c'est jackpot. Arsenal, qui à déjà eu le nez creux sur Anelka, se penche sur son cas. Mais il est remplaçant, s'impatiente, et ne marque aucun but avec son maillot floqué SEGA. Il revient en France, sur la Cannebière, dans cette ville peu avare en transferts bidonnants. 0 pion. Puis le PSG, pour le fun. 0 pion. Soit un magnifique triplé Arsenal / OM / PSG en 3 ans pour o patate. Le tout en 2 ans. Superbe. Il va enchaîner 4 prêts, puis filer au Quatar. C'est à peine mieux. En 2005, retour en presque France, à Ajaccio. Raté. La Turquie suivra, sans plus, puis Chypre, pire. Il se finira à Arles Avignon. Diawara Kaba vide.

Le Nanar Mendy de l'attaque.

lundi 5 novembre 2012

Richard OFFIONG

Aujourd'hui, après un week-end passé loin de tout (et surtout du net ;) , on va débuter la semaine par une pépite que l'un d'entre vous m'a proposée. Le mec est Anglais, buteur, et sort de la formation de Newcastle. Sélectionné chez les U-20, il va être prêté pour s'aguerrir. 3 clubs durant 3-4 mois, 1 ou 2 buts par-ci par-là, et de retour au bercail. 2004, il se tire, n'ayant aucune opportunité de jouer pro à nouveauchateau. C'est parti pour une carrière tout en foirade, dégueulasseries et mauvais choix. On commence par Istanbulspor, puis Maasmechelen chez les Belges, Chunnam au pays du gagnam style et Doncaster, le tout en 2 ans. Puis 3 ans à Hamilton academical, chez les Scottish, la meilleure période de sa carrière, 39 pions en 94 matchs. Il rejoins Carlisle en 09', est nul, est prêté en Suède et dans les sous-fonds Anglais, tente de se relancer en Australie, se plante, et signe au 7eme échelon Anglais. Tout ça en 2 ans. Je vous passe le nombre de buts... Mais vous savez ce qu'on dit, quand on touche le fond, on ne peut que remonter, alors le voilà qui file tête basse en Malaisie, pour jouer depuis 2012 à Johor. Richard Offiong, 3 lettres en trop...

Le prince de Bel-air.

vendredi 2 novembre 2012

Hugo PORFIRIO

Aujourd'hui, on sort les parpaings et la truelle. L'ailier sur lequel on va se poiler sort de la réputée école du Sporting. Il débute chez les pros en 92', se farcit 3 prêts d'affilés, dont un en Angleterre, à West-Ham. 97', il n'a que très peu joué pour son club de coeur, et décide d'aller voire si l'herbe est plus verte ailleurs. Santander l'accueil, une bien belle pelouse mais des résultats décevants, malgré ses 20 matchs. En 98', un gros poisson Portugais le rappel, et il voit la sa chance de percer au plus haut. Bonjour Benfica, son aigle, son stade de la loupiotte et son maillot rouge. Il sera prêté fissa à Nott' Forest, puis le Maritimo. Il se collera même 2 ans de Benfica B. Après 2 petits clubs Portos, il se finira en petro dollars à Al-Nassr, en 2008. Hugo Porfirio Délire.

Boucle d'or.

jeudi 1 novembre 2012

Alain RAGUEL

Aujourd'hui, attention les yeux ! Milieu de terrain formé au LOSC, je ne suis pas conservé par Coach Vahid le dictateur en 99'. Pas grave, je file chez un grand d'Europe, en Espagne, à Valence. Ah merde, j'me suis planté, je ne suis qu'à l'Asso Sportive d'Origine Armenouche de Valence. La tuile. 1 saison plus tard, je fuis l’Arménie Française et rejoins mon pays d'adoption : la Grèce. 4 ans de bons et loyaux services à Panionos, et j'atteins les hautes sphères Grecques. J'enfile la tunique verte du Pana. Pour l'entrainement. Parce que mon coach m'a semble-t-il oublié. 1 an sans jouer, c'est long. Alors je me casse à Atromitos, puis Iraklis, et enfin l'Olympiakos ! Volou, pas le Pirée. Mais c'est bien pire. J’arrête les frais en 09'. Moi, c'est
Alain Raguel -énique.

Les boucles aux deux oreilles, c'est
pour faire vrai grec.