Si t'aimes, Tu clics !


samedi 30 juin 2012

Joël TIEHI

Aujourd'hui, un buteur, un vrai. Ivoirien, mais pas complètement aveugle, il débarque de son Stade Abidjan en 87', en pleine Normandie, entre Calva et pluie, au Havre. Dans le club doyen, il va s'en donner à coeur joie, claquant 59 pions en 163 matchs. Ses dribbles chaloupés font des ravages dans les défenses rugueuses, sa moustache taillée fait des ravages dans les jupons. 94', après 7 années au HAC, il s'engage à Lens, chez les ch'tis. C'est pas loin, mais y'a pas plus de soleil, et l'accent rugueux rend difficile son adaptation. Ses 15 petits buts en 2 ans sont loin des espérances. Ciao le Nord, bonjour Martigues. Sous le soleil, notre africain se la coule douce, mais ne plante quasi plus. Ses 8 misérables buts confirme que sa carrière est derrière lui... Direction la Réunion, île de la feignasserie, où il va scorer 22 pétard ! Alors rebonjour métropole. La ville rose le signe, mais il ne plantera que 10 patates. Il se finira comme tout joueur qui se respecte aux Emirats. Joël Tiéhi -ti Bob.

Joel s'est reconvertit dans le cinéma,
signant notamment "Le flic de Bevely Hills"
Eddy Like This.

vendredi 29 juin 2012

Julio Cesar DELY VALDES

Aujourd'hui, Buteur. Des débuts tonitruants au Depor Paraguayo, puis une ribambelle de buts pour le Nacional de Montevideo, et une découverte de l'Europe, en 93', via la série A et Cagliari. En 95', le natif du  Panama s'engage tout logiquement dans le club de (du) Canal. Paris souhaite en effet trouver un remplaçant à Mr George. Après deux années et 29 pétards, il s'engage à Oviedo, certainement plus adapté à sa technique superflue et ses fluettes cannes. Ses stats sont quasi identiques. L'an 2000 le voit débarquer à Malaga, où il scorera 38 fois en 3 ans. Après un bref retour au Nacional, il se finira soigneusement au pays, à Arabe Unido. Julio César Dely Valdes délit de fuite.

C'est la banane qui fait tout...

mercredi 27 juin 2012

Alexander ZICKLER

Aujourd'hui, un buteur. Son nom est indissociable du Bayern. Car après des débuts timides à Dresde, en 92', le voilà qui enfile le maillot du géant d'Allemagne, dès 93', pour ne le quitter qu'en 2005. Après 235 matchs. Et 57 buts. Mais surtout après 3 fracture du tibia. De biens jolis chiffres qui confirme qu'au delà d'une certaine fragilité, il est aussi fébrile devant le but qu'un jeune pompier devant son premier cassoulet. Mais il trouve quand même un point de chute. Direction les vallées fleuries d'Autriche, dans le club phare du taureau rouge. Il est un peu ce que Henry sera à New-York. Après 5 années de bons et loyaux services, de la taurine plein les veines et de la pisse verte fluo, il va se finir peinard à Linz. Alexander Zickler-obscur.

Alex se voilait la face, préférant engueuler le ballon plutôt
que d'admettre qu'il avait croqué une énième action... 

mardi 26 juin 2012

Le TWINNY DOUD

En Bonus, pour son Anniversaire, pour sa carrière, pour ses buts, pour ses cartons rouges, pour ses tacles à la glotte, pour ses tresses (fut un temps), pour ses crêpes (prononcez crepé), pour ses maillots, pour les dépôts de bilan, pour les magouilles de présidents, pour l'OL, Perugia, Catania, Acireale, Sangiovannese, Pisa, Sienna, Torino, Livorno et encore Pisa. Pour mon Twinny. JOYEUX ANNIVERSAIRE.

Tant que tu signes pas à Waterloo...



Ferdinand COLY

Aujourd'hui, un mercenaire. Né à Dakar, il débarque très vite en France pour débuter tambours battants à Poitiers, en 93', à 20 piges. 3 belles saisons, puis bonjour la Berrichonne de Châteauroux, 3 années aussi. Il monte encore plus au nord, pour s'engager à Lens, en 99', pour y rester 3 ans également. Ras le bol de la fricadelle, alors "piège à loups" traverse la manche. Mais son prêt à Birmingham est une foirade totale. Pas grave, il se refera une petite année à Lens, puis va s'la coller peinard à Perugia, du père Gaucci, un mec aussi clair que l'eau qui traverse les égouts de Paris. Après 2 ans en Ombrie, il va là où le pognon le mène, à Parme, précisément. Fin du bal en 2008. Ferdi Coly, fighting spirit Mercenary.

Ahhhhh... La beauté du football Africain.
Images exclusives de la prochaine pub Nike.
JogaBonito

lundi 25 juin 2012

Ildefons LIMA

Aujourd'hui, pour débuter cette semaine avec du lourd, penchons-nous sur ce défenseur rugueux, malheureusement pour lui issu d'un pays où le foot n'a pas vraiment de place. En revanche, les taros d'une bonne teille ou des clopes frisent l'excellence. Notre ami est Andorran. Après deux années au FC Andorra,  il débarque à Barcelone, -l'Espanyol, faut pas pousser non plus-, du haut de ses 20 ans. Malgré son mètre 92, il ne s'impose pas, et dégage en 2000 à Sant Andreu. C'est moins prestigieux, mais au moins il joue, il casse de la cheville, et se fait remarquer. Direction Ionikos, en 01', puis Pachuca, Mexique, en 02'. Les nachos étant trop gras, il ne s'éternise pas, et reviens, après 3 petits matchs, en Espagne, à Las Palmas. Une saison et demie pleine, et le voilà qui file à Ejido, toujours en segunda, avant le Rayo Vallecano, en 04', qui croupit en 3eme division. 2005, éclair de génie : bonjour l'Italie. Il va cisailler 4 ans durant à Trieste, 2 ans à Bellinzona, Suisse ritale, et revient à la Triestina, en 2011, à 32 balais, pour enseigner l'art du sécateur humain. Ildefons Lima, tacles duty free.

4 Andorrans, dont Ildefons, essaient d'avoir la même gueule que Joleon.
Mais rien ne vaut l'original.




Merci à Guillaume pour l'idée !!!


dimanche 24 juin 2012

DENILSON Martins Nascimento

Aujourd'hui, Brésilien. C'est prometteur, vu que l'attaquant auriverde débarque en 97' du PSV à Paris. Et qu'il a Nascimento dans son nom... Des signes qui ne trompent pas. Ben.. Euh... Si en fait. Le bougre est en dessous de tout. Et ne tarde pas à se tirer, direction le Pourtougal, au milieu des lamas du club de Uniao. 1999, le cirque est finit, le voilà qui fait prendre à sa carrière un virage doré. les Emirats lui file des pétrodollars, lui il tente tant bien que mal de scorer un chouïa.... 05', après 3 clubs différents, bonjour le Mexique. Le temps d'une saison, faut pas pousser, parce que il reçoit un contrat en or de Corée du Sud. 2010, des buts et 2 clubs plein de nouilles, et puis l'appel du large. Large portefeuille. L'Ouzbekistan. A 35 ans, il retourne au pays, dans les bas fonds. Denilson, nom d'auteur.

Le gai luron.
Toujours se méfier d'un Denilson dans le foot.

samedi 23 juin 2012

Kelvin SEBWE

Aujourd'hui, Libérien. Milieu de terrain, il débarque du haut de ses 20 piges à Monaco, en 92', ne joue pas et s'en va découvrir la bière Belge au RFC Liégeois. Une belle saison qui lui ouvre les portes du TFC, en cette saison de World Cup. Après 2 années sans plus, il va chercher bonheur en Grèce, où il va évoluer 6 ans, dans 5 clubs différents... Vous l'avez compris, pas de grande réussite, mais au moins il sait cuisiner une moussaka. En 2001, la raison sportive prend le dessus : il signe aux Emirats. Puis à Dubai. Puis retour à Abu Dhabi. C'est en 2004, a 32 balais, qu'il revient sur la terre du Tzatziki, 3 clubs en 4 ans, et fin de partie. Kelvin Sebwe de sauvetage.

Devenu Coach, Kelvin, danse avec ses joueurs.
Après la valse, le Sirtaki.

vendredi 22 juin 2012

Dado PRSO

Aujourd'hui, dans la lignée de Shabani, cité juste en dessous, nous allons noua attardé sur un bonhomme buteur, Croate, qui a fait sa carrière à l'inverse de beaucoup d'autres. Il a connu le succès plus vers la fin que le début... En effet, entre Split et Pazinka, c'est pas la joie au pays... Il ne marque que très peu de buts, puis la guerre éclate, il se barre en France. Le voilà à Rouen. C'est nul, il abandonne le foot pro et débarque à St Raphaël, licence amateur en poche, et un job de mécano. Il tape dans l'oeil des Monégasques lors d'un match de CFA, et le voilà qui signe Monaco. Avec son Panaché - fraise dans la main, il est prêté à Ajaccio, puis revient plus sûr que jamais en Principauté. Il va claquer 45 caramels en 146 matchs, jouer une finale de Champion's et réparer les Merco et autres Audi ou Porsche de ses potos. Il signe un contrat en 04' aux Rangers, tiendra quasi les mêmes stats, et se retirera peinard... Dado Prso, solo.

Dado, ce héro, creve les yeux des adversaires et pousse le ballon
avec son seul souffle.
Le catogan en prime.

jeudi 21 juin 2012

Shabani NONDA

Aujourd'hui, on poursuit dans le buteur. Un vrai scoreur. Le mec est Congolais, et mérite qu'on se rappelle de son début de carrière entre Burundi, Tanzanie et Afsud. Puis, dès 95', il débarque en Suisse, du coté de Zurich. 36 cartouches en 75 matchs, un joli coup que ne manque pas le Stade Rennais. Le voilà donc en Bretagne en 98', et aura les même stats qu'a Zurich, à 2 matchs près. Le bug de l'an 2000 passé, il refuse l'OL en pleine moisson de titres pour la Principauté de la défisc' et des casinos. Son passage à Monaco est marqué par des buts, des bons matchs, puis par une "touchette" de José Karl Pierre Fanfan qui lui arrache la guibole gauche. 8 mois d'absence. Cadeau. 2005, fin de contrat à Monaco, il est grillé par Chevanton "l'arnaque" et autre Adebayor "la tige", alors il se tire à la Roma. Sa carrière est déjà derrière lui... Blessure, méforme, prêt aux Rovers, désire de se barrer. Tout est réuni. Il s'engage en 2007 au Galatasaray, pour les kebabs. 38 buts en 96 matchs, c'est pas trop mal. Il est coupé fin janvier 2010, 6 mois avant la fin. Rideau. Shabani Nonda -mania.

La célèbre "Planchette Congolaise".
Les supportrices faisaient la queue.




Merci à toi Anonyme ;) !!

mercredi 20 juin 2012

Daniel MOREIRA

Aujourd'hui, Ch'ti. Un mec sympatoche, qu'on a envie de voir réussir, mais pourtant... Il est attaquant, formé à Valencienne, il va chercher bonheur en Bretagne en 96', du coté de Guingamp. 2 années pleines, de matchs à défaut de beaucoup de buts, qui le mènent à Lens. Son séjour dans le Pas de Calais, sera la meilleure période de sa carrière, 6 années durant, à 48 boulettes sur 207 matchs. Rien de pétaradant, mais il se démène sur le front, et les mineurs aiment ça. Le ch'tit chouchou se barre à Toulouse en 2004, pour voire la vie en rose. 2 années correctes, mais qui l'enverront vers la Bretagne Rennaises, et c'est là que tout se complique. Il va jouer 47 matchs pour les faux ambitieux, et se croûter en beauté, restant muet tout au long du port du maillot rouge et noir. Il se fera un prêt à Grenoble, puis une fin à Boulogne, due notamment à une blessure au genou. Daniel Moreira comme une âme en peine.

"J'ai encore bouffé trop de caramel au beurre salé.
J'ai le bid en vrac doc"
Encore une excuse pour Daniel...

mardi 19 juin 2012

Lamine SAKHO

Aujourd'hui, attention les yeux, ça pique ! Il est buteur, Sénégalais, et débute à Nîmes, puis enchaîne avec Lens. Ses stats sont quasi identiques, avec une vingtaine de pions en une soixantaine de matchs... Rien de transcendant, mais en 2002, l'OM en plein recrutement hautement foireux se penche sur son cas, et le signe.Il reste sur les mêmes bases, avec 10 cacahuètes en 43 matchs, et s'en va en prêt en 03' à Leeds, en plein marasme financier. Malgré de bonnes intentions, ses statistiques sont faméliques, et son retour de prêt se fait sans passer par la case Bonne Mère, mais directos dans la verte Loire, à Sainté. Il est mauvais, et le sera tout autant à Montpellier en 07', malgré sa meilleure saison depuis 2003 : 3 buts dans la saison. Cet horrible constat l'envoi droit à Larnaca, où après aucun but inscrit, il file à Wrexham, dans les bas fonds Anglais. 1 but, joli coup. Il joue depuis en amateur au consolat Marseille... Lamine Sakho, gisement épuisé.

Lamine, en plus d'avoir des pailles de riz sur le crane,
courait les bras le long du corps.
Chapeau.

lundi 18 juin 2012

Toni BROGNO

Aujourd'hui, Belge. Attaquant besogneux, il débute semi-pro à Charleroi, en 94'. Il joue alors avec son frangin, mais une mauvaise appréciation du médecin du club le convainc de se barrer, en 95', chez l'ennemi, l'Olympic Charleroi. Deux ans de hauts mais surtout de bas, et c'est à Westerlo qu'il va enfin signer un vrai contrat pro. 99-00, il finit top-scrorer de la league de la binouze, 30 caramels. Mais il est recalé pour l'Euro 2000, et ça, ça fait mal (Dikkenek dans le texte). En cette année d'Euro Trezegoal, il signe à Sedan, sans doute pour la mascotte. Une première saison dure, une deuxième pourrasse au max. Retour à Westerlo, pour 3 ans, sans grand succès. Il ira se perdre en D2, puis clos la souffrance à l'Olympic Charleroi, en 09'. Toni Brogno, Sedan est servit.

Kamel Ouali est passé par là...

dimanche 17 juin 2012

Thierry ROLAND

Aujourd'hui, c'est un hommage que je vais rendre à notre Titi national. Pas Henry, le roi de l'intérieur du pied, mais Roland, les cordes vocales du foot en France. Je n'ai connu que lui, ou presque, et même si son humour était parfois proche du niveau de Titi Camara plutôt que Titi Henry, il est difficile d'imaginer que nos matchs ne seront commentés que par Jean-Mimi "le Stéphanois" ou Christian Jean Pierre "le bon à rien". A croire que les Journaleux sportifs, se prénommant Thierry, et destinés à plaire dans le PAF, sont maudits. J'adresse donc une vive pensée à Thierry Roland, et à Thierry Gilardi.

Et Merci pour vos commentaires sur tous ces Vieux Footeux que vous avez commenté !!

Voilà pourquoi Zizou à voulu arrêter l'EDF avant 2006... 

samedi 16 juin 2012

Michael MOLS

Aujourd'hui, un striker. Le mec est Hollandais, de parents Indiens. Pur produit de la fameuse école de l'Ajax, il n'y jouera aucun match. Belle preuve de son talent... Il décale à Cambuur, joue pas trop mal, monte en D1, et signe à Twente en 93'. 107 matchs, 26 buts, le tout en 3 ans. Moyen. Mais assez pour s'engager à Utrecht, et claquer 49 boulettes en 94 matchs. On commence à apercevoir un bon buteur. 99', c'est le grand saut : les Rangers le signe. Son ratio sera à peine inférieur, jouant 4 matchs de plus qu'à Utrecht, pour 11 buts de moins. 2004, retour à l'envoyeur, pour une pige rapide et nulle à Ut', puis 2 ans à Den Haag, pourries, et 2 dernières années soporifiques à Feyenoord, histoire d'un pied de nez à l'Ajax. Michael Mols du genoux.

Le test de la célébration de but pour borgne.
C'est Fortiche...

vendredi 15 juin 2012

Sebastian ROZENTAL

Aujourd'hui, Israelo-Chilien. Déjà, c'est exotique. Milieu offensif ou buteur, il débute à l'Universidad Catolica, joli coup pour un Israelien. De très belles stats, 39 pions en 75 matchs, et le voilà qui fait rêver les Rangers. Club Protestant. Encore bravo. Par contre sur le pré, c'est bidon. Il sera prêté à 3 clubs différents, puis vendu au Grasshopper. 1 but sur la saison, ciao. Un retour au Chili, à l'Uniao Espanola, puis dans son club Cato, puis une échappée à Puerto Rico, une tentative de MLS à Colombus, mais tout partout, c'est mauvais. Il finira par un voyage en Israel, faut pas déconner de trop, à Petah Tikva et Netanya. Seb Rozental, football is a religion.

Religion, sport, coupe de cheveux...
Sebastian ne sait jamais trop où il en est...

jeudi 14 juin 2012

Stéphane GUIVARC'H

Aujourd'hui, Breton. Attaquant débutant à Brest, puis confirmé à Guingamp, il débarque en Bourgogne, dans l'ancien club de l'ami Roux. 3 saisons, dont une en prêt en Bretagne, à Rennes, faut pas déconner. C'est une cascade de buts. 30 pour les Rennais, 50 pour Auxerre, 68 pour Guingamp. Il s'offre même une coupe du monde, sans y inscrire la moindre cacahuète. Dur. Mais bon, il est champion, et en profite pour signer comme beaucoup de ses coéquipiers un contrat à l'étranger. (Re)Bonjour pluie, dans le nord de l'Angleterre, à Newcastle. Tel Flash Gordon, son passage éclair de 4 matchs marque cependant les esprits : il est encore considéré aujourd'hui comme l'un des pires attaquants de tous les temps en Premier League. Joli. Il tentera bien les Rangers, mais rien n'y fera. Il revient en 99 à Auxerre, reste 2 ans pour 30 patates, et finira tout naturellement à Guingamp, pour les galettes au beurre. Stéphane Guivarc'hi breton.

Le traumatisme de NouveauChateau est encore bien présent...


mercredi 13 juin 2012

Jorge CADETE

Aujourd'hui, Special Looser. Un Portugais, attaquant, formé dans l'antre de la loose, le Sporting. Une très bonne école, mais pas un ogre des titres. Bref, le mec est doué, claque de la patate régulièrement, et décide, en 96', après quasi 10 piges au club, de se barrer, avec l'aval des dirigeants, vu qu'il devient amorphe sur le pré. Prêt à Brescia, loose. Transfert définitif en 96' au Celtic, et là c'est la saison de sa vie. Celle qui fait signer un Diomede à Liverpool ou encore un Péricard à la Juve. Bingo. 30 pions en 37 matchs, c'est Vigo qui se fait berner. 1 saison et demie de mitard, puis Benfica tente sa chance. Il le prêtera deux fois, mais rien y fait. Notre Luso-Touffu est zéro. Son retour par la petite porte dans le championnat Écossais ne changera rien. Fin de la comédie en 07', à 40 balais. Jorge Cadete, frisette.

Cadete, sans protège-tibias, tirant la langue, sous la pluie Écossaise.
Une pochette d'album ?

mardi 12 juin 2012

Kazuyoshi MIURA

Aujourd'hui, pionnier. Un Japonais, 2eme meilleur marqueur de sa Sélection, qui a certainement inspiré le créateur de Olive et Tom ! Le mec se barre a 15 ans pour le Brésil, pour être formé comme les plus grands footeux de la planète. Le voilà qui débute en pro en 86' à Santos, puis Palmeiras, puis 2-3 clubs avant de revenir s'imposer dans le club de Pelé. 90', le voilà qui revient au pays, claque du pétard à la pelle, est bien au dessus du niveau Nippon. 94', tentative sous forme de prêt en Europe. Le voilà au Genoa, mais c'est dur... 1 but en 21 matchs pour le 1er Japanimation de série A. En 99', après 100 caramels en 198 matchs au Verdy, le voilà qui s'engage au Croatia Zagreb. C'est encore la foirade sur le vieux continent. Il va enchaîner 3 clubs Jap' avant de découvrir le Sydney Fc, puis rejoindre un énième club de son pays en 2012, à 45 balais. Kazu Miura -ze moquette.

Que les mauvaises langues qui affirment qu'il est
venu grâce au sponsor se taisent. (Même si c'est vrai)

lundi 11 juin 2012

Ilie DUMITRESCU

Aujourd'hui, Roumain. Pas question de pare brise ou encore de métro, mais d'un ailier, voir attaquant central, qui débute au Steaua local, perd la final de la Champion's 89, plante une cascade de pions et se tire pépère en 94', pour les Spurs de Londres, après une demie de mondial Américain. Une saison pourrie, 18 matchs, 4 buts, et un prêt. Le voilà qui pose ses valoches à Séville, le temps de 13 matchs. Mais les Sévillans trouvent la somme demandée exagérée et ne le garde pas. Le Rom est vendu aux Hammers, pour qui il jouera 10 matchs. Le nombre de buts scorés dépasse l'entendement : Zéro. En 96', en pleine agonie, il tente une relance au Mexique, au Club America, puis Atlante. Exotique mais pas payant. Il trouve une porte de sortie en 98', se finissant dans le seul club qui l'a vu réussir. Ilie Dumitrescu, midi est donc passé.

Flan roumain. 

dimanche 10 juin 2012

Phil MASINGA

Aujourd'hui, SudAf. Un mauvais souvenir pour la France, mais aussi pour Leeds Utd de 94', qui signe ce jeune attaquant qui évoluait jusque là aux Mamelodi Sundowns. Il débarque en même temps qu'un certain Radebe, qui lui a marqué les Anglais. International, il découvre l'Europe par le championnat Anglais. Mais la magie n'opère pas, et notre bafana-bafana traine son spleen sur les terrains de Premier League, plante à 5 reprises en 31 matchs sur 2 ans, et se tire. Quoi de mieux que le poubelle de l'Europe pour repartir ? Avion direct pour la Suisse. Mais sa saison à St Gallen est nulle. Sauf pour la Salernitana qui le signe, espérant un retour à son niveau SudAf. Non. 4 pauvres pions. Direction Bari. Au fond de l'Italie, il jouera 4 ans, marquera à 24 reprises, et saisira l'opportunité d'une offre "Sportive" à Al Wahda en 01'. Phil Masinga -lères.

Sac à dos ! Sac à dos !
Phil s'en va explorer une nouvelle partie du globe !

samedi 9 juin 2012

THIAGO Maier Dos Santos

Aujourd'hui, on reste dans le buteur Brésilien. Un mec encore tout jeune, certes, mais qui mérite déjà son article. Il affiche 25 balais, mais son parcours est digne d'un vieux grognard. Formé à Paranaense, il découvre la grande Europe via l'Italie en 06'. Ascoli en prêt, puis surtout 4 ans à l'Udinese, à apprendre aux côtés de Toto, Sanchez et Cie. Il va jouer 1 match, point barre. Le reste du temps, c'est du prêt, à Murcia, Dijon, et en Autriche. Il enchaîne trois saisons, à 6 buts, de quoi parader. Fin du contrat à Udine, transfert définitif à Vienne, il est mauvais, et le voilà qui file en Ukraine, à Lutsk. Avec des stats de folies, 1 transformation en 17 matchs. Thiago -go danceur.

Un hot-dog moutarde pour le Gogo !

vendredi 8 juin 2012

REINALDO Da Cruz Oliveira

Aujourd'hui, croqueur. Nominé dans la catégorie des plus grands vendangeurs dans chacun des clubs qu'il a connu, notre ami Brésilien, qui n'a bien entendu jamais porté le maillot Auriverde, débarque de son Fla au Psg en 01'. Si ses stats brésiliennes sont de 9 patates pour une quarantaine de matchs, les dirigeants Parisiens espèrent un rendement plus élevé. Mais plus tard, parce qu’il n'est qu'une partie de la transaction entre de Vampeta, l'homme du milieu... Et que Panam' n'a pas la place pour un brésilouche de plus. Le voilà prêté à Sao Paulo, 2 ans, et c'est un buteur affûte que la Parc attend en 03'. Ses 2 saisons seront tristounes, et il décide de se relancer à Reysol, Japland. Moyen. Prêt à Santos, raté. Transfert à Jef Utd, affreux. 09', Botafogo, nase. 2010, le voilà qui tente la Corée du Sud. Son club est dernier, il est coupé. Suivront 2 tristes expériences en D2 Brésilienne, puis une annonce qui détonne : Février 2012, le voilà qui signe en Chine. Reinaldo, Asian memories.

Reinaldo n'a pas su s'imposer face à Ljuboja.
Ce qui en dit long...

jeudi 7 juin 2012

Demir STOJAK

Aujourd'hui, buteur. Né à Novi Sad en Serbie, il débute dans son club formateur de Vojvodina, en 92'. Après un prêt, il s'expose aux championnats majeurs et atterrit en 98' au Napoli. 2 pions pour 13 matchs, puis un 1 unique but pour Francfort lors de son prêt. Son passage à Lugano est sans aucun intérêt, puis départ pour la Belgique, pour la relance. A Alost, il marque 14 caramels en 32 matchs, et se croit en feu. Mais c'est à peine une braise qui signe à Visé en 02'. Il arrêtera  tout à la fin de la saison. Hello, I'm Damir, and welcome to Stojak -ass.

Sur Damir ya une languette,
pour démouler c'est plus rigolo...

mercredi 6 juin 2012

Benoit CAUET

Aujourd'hui, milieu Français. Notre homme n'a rien à voir avec le présentateur radio/télé à la con. Il est formé à Marseille, débute en 88', puis devient reconnu en 90', lorsqu'il signe au SM Caen. On est loin du trou Normand. Le calvados va lui filer un coup de boost, il va jouer l'Europe, et signe 4 ans après à Nantes. Bonjour les canaris, les titres et en 96', le voilà qui rejoint la Capitale. Une saison pleine qui lui ouvre les portes de l'Inter, bien que ces portes ne soient jamais vraiment fermées, surtout à cette époque. Contre toute attente, il va très bien jouer, être élu joueur de l'année par les Tifosis en 99' mais tout ça sans la moindre sélection. 01', terminé Milan, passage au Toro, puis baignade au lac de Côme, une pige à Bastia pour la beauté de l'île, une autre à Sofia, pour la mafia, et une fin entre banques et chocolateries en Suisse. Benoit le bon Cauet -quipier.

Quand le SM Caen voulait se débarrasser d'un joueur,
il lui disait de reculer encore un peu pour la photo...
Heureusement Benoit avait une coupe aérodynamique, au cas où.

lundi 4 juin 2012

Vladimir PETROVIC

Aujourd'hui, Croate. Le mec est sois-disant buteur. Il débute au sein de son équipe formatrice, et fait comme bon nombre de joueurs du pays, signe dans un club de Zagreb. Ce sera le Dinamo. 1 saison, 11 pions pour 27 matchs, cela convainc le TFC de l'engager en 97'. 27 matchs, 6 buts, bonjour la D2. Un soupçon de CFA, puis 11 caramels en 26 matchs de ligue 2, il reste sur les mêmes stats. Il jouera 7 matchs pour 2 goals de plus puis filera en janvier 2001 en Israel. 7 matchs, 2 buts. Cet homme aime le copier-coller. 01' à 03', retour à Zagreb pour remonter la sauce, puis le voilà qui embrasse son destin plein de nouilles en Chine. Foirade, retour à Zagreb, puis nouvelle tentative dans un autre club Chinois. Re-raté. Alors bonjour l'Autriche et ses belles saucisses. Zéro. Retour en D2 Croate, c'est dur. Sa tentative désespérée en Slovénie ne sera qu'une blague douteuse, il se retirera dans un club du fond de la Croatie. Valdimir Petrovic, et versa.

M n'a qu'a bien se tenir.

dimanche 3 juin 2012

Miklos LENDVAI

Aujourd'hui, numéro 6. Le mec est un bûcheron Hongrois, qui cisaille les tibias sans même utiliser sa hache. Il débute dans son pays, dans un club au nom imprononçable, puis sans aucune raison, atterrit en Gironde, au pays d'Obispo. On est en 96', il ne joue que 4 matchs, le temps de s'apercevoir que ses capacités se limitent à découper, arracher, éclater. Il trouve refuge en Suisse, mais c'est une jolie saison toute blanche qui l'attend. Il se relance au pays, puis bonjour Belgique, 2 ans durant. Retour aux sources, à Videoton, en 01', mais l'ami broyeur à la bougeotte et se barre encore en Belgique. 3 ans à Charleroi, 34 matchs joué, c'est peu, mais assez pour s'engager à Limassol. Il retournera opérer au pays, après avoir goûte du sang  partout où il est passé. Miklos Lendvai, équarrisseur Tsigane.

Miklos vient de tacler le kiné.
Il se marre en voyant la jambe du malheureux totalement broyée.



samedi 2 juin 2012

LAMB "El Frerouille"

Aujourd'hui, parce que c'est son anniversaire, et que 18 balais, c'est le tarif pour passer pro, le voilà qui vient garnir les rangs de ce site numéro un dans le monde du foot :) Il débute à Santa Fé, et détonne sur le terrain de Charcot. Puis vient le temps de la pelouse bien verte du plan du loup. A "mezzo i luppi", il facture des bons matchs, malgré les quolibets incessants des parents sur le bord du terrain -"Ooooh, c'est qui le père de celui-là ?!"- qui hurlent cette question à chaque action de chacun des 11 joueurs de son équipe sur le pré. Mais la saloperie tombe : un genou en mousse, du cartilage qui crépite comme des rice crispies, et le voilà contraint de refuser le contrat proposé par le Real. On n'oubliera pas son tournoi pré-olympique (ou presque) du côté du Luxembourg. Mon frerouille, bon anniversaire.
Avec la main dans le trou, on est toujours mieux...





Papa Bouba DIOP

Aujourd'hui, milieu déf. Le mec est Sénégalais, c'est un colosse qui affiche son mètre quatre vingt quinze dans son pays avant l’exil au pays de la neutralité en 99', à 21 ans. Vevey, Neuchatel puis Grasshopper, l'évolution logique, avant la découverte d'un championnat majeur. Welcome chez les ch'tis, quasi 3 belles saisons entre pluie, maroille et mineurs, et le voilà en route pour l'île aux salaires massifs. Fulham, Pompey, et après ces 2 fois 3 ans dans le Royaume, il se barre dans un club en crise se trouvant dans un pays en crise : l'AEK Athènes. Bonjour désespoir, il accepte d'y jouer -qu'une saison- en échange d'un salaire de près de 800K€. Il se pointe à West Ham en 2011. Papa Bouba Diop, le p'tit ourson a craché dedans !

La finesse le caractérisait. 

vendredi 1 juin 2012

Pontus FARNERUD

Aujourd'hui, un milieu de terrain. Il fut l'un des premiers Suédois à jouer en France. Après des débuts à Landskrona, sur sa banquise natale, il se fait le grand saut dans ce paradis pour riches bronzés qu'est Monaco. En principauté, il joue au foot, joue au casino, est moyennasse, 5 ans durant. Il sera prêté à Strasbourg, ou le climat lui rappelle son pays. Il prend la direction du Sporting Loose en 06', joue peu, mal et file en Norvège en 08'. Son retour en Scandinavie lui fait le plus grand bien, et c'est à Goteborg qu'il signe en 2012. Pontus Farnerud, joueur ikea.

Pontus, c'est celui qui tâte le mec à terre.
En même temps, le mec à été teint en blond une grande partie de sa carrière...