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vendredi 31 mai 2013

Jean-Yves ANIS

Aujourd'hui, penchons sur un défenseur. Royalement proposé par un internaute anonyme, notre ami est formé à Rennes, école réputée de notre championnat. Entre 98' et 2001, il est donc en apprentissage, puis fait l'erreur de beaucoup : il saute sur la première proposition juteuse. Coup de bol, c'est à Chelsea qu'il atterrit. Mais au risque d'en étonner plus d'un, je vais vous avouer une chose : il n'a jamais joué un match avec les blues. Curieux, non ? Mais pas de panique. Il s'échappe à Patrick Thistle en 03', pour enfin savoir ce qu'est un match de pro. Après 40 matchs ternes en 2 saisons, il s'en va à Ayr United. Vous l'avez compris, quand on commence à écumer les bas fonds Ecossais, c'est soit qu'on aime la Guinness à outrance, soit que la carrière à pris un sacré coup derrière la nuque. Toujours est-il qu'en plus, son aventure à Ayr est foireuse, et sa signature à Clyde en 06' n'arrange rien. Porté disparu depuis. Jean-Yves Anis, Ricard / binouze.

United color of Benetton.












Merci à toi l'anonyme ! Une bien belle trouvaille ! Donc soi tu es Écossais, soi tu as fait une partie avec un de ces clubs sur FM....

mercredi 29 mai 2013

Nikola JOZIC

Aujourd'hui, un bûcheron serbe. Né en Allemagne, formé dans divers clubs de l'Ouest, et positionné en défense, il fait flipper les attaquants avec son physique de déménageur breton. Non conservé par son ultime club formateur, l'Eintracht Frankfort, il vient saccager les tibias en France, du côté d'Auxerre. C'est Guy Roux, en fin limier, qui le signe et lui confit la défense de la cage Bourguignonne.  60 matchs en 2 ans et demi, 5 caramels et une vingtaine de blessures infligées entre matchs et entrainement. Ce sera curieusement le meilleur club qu'il ai jamais connu. Il va ensuite errer en Allemagne, dans des clubs inconnus et imprononçables, puis tentera la Bosnie, la Turquie, et même la Roumanie. Sans succès. Mais avec des tacles au niveau des joues... Nikola Jozic, viandard.

Nikola, accueillant.


lundi 27 mai 2013

Lucas PEREIRA

Aujourd'hui, un striker. Brasilou de son état, il débute a Ponte Preta, et file dès que l'occase se présente -contrairement à ses actions sur le pré- en Europe. Le voilà à Ajaccio. Au milieu d'une armada de mercenaires Sud Américains, il réalise deux saisons correctes ponctuées de 16 pions, même si son irrégularité flagrante agace. Quand Ajaccio descend, il se barre fissa, barroude au Portugal et au Brésil, et revient la queue basse a Ajaccio en 2007. Ce deuxième passage est encore plus foireux, et l'amoureux des filoches se voit conduire dans un avion direction le Brésil, puis très vite la Corée. Vous l'avez compris, c'est déjà la fin pour notre ami, qui errera plusieurs années entre le Qatar, le Brésil, la Grèce avant de retourner se finir sur ses terres. Lucas Pereira le bol.

Lucas pose avec un gringalet.
Qu'il dévorera quelques minutes après.

jeudi 23 mai 2013

Edson DE FARIA

Aujourd'hui, un milieu / buteur Brésilien. Après ses débuts dans différents clubs anonymes du pays des strings, il signe en 99' à l'America, grand club Mexicain. Une seule saison entre banc de touche, tortillas au cheddar, et quelques buts. Pas suffisant pour rester, il va alors errer dans deux autres clubs du pays, avant le grand saut. En effet, en 04', il est embauché par Ajaccio, avide de Brésiliens en tout genre, histoire de tenter l'alchimie Sud Américaine. Et c'est en vrai brésilien des bas fonds qu'il va apporter sa pierre à l'édifice. A savoir nonchalance, manque de réalisme, j'menfoutisme et maladresse. Après 5 miséreux pions en 2 saisons, il est renvoyé au Brésil, puis entame un périple sans queue ni tête qui le mènera au Portugal, en Iran, en Grèce, pour se finir dans son pays, pépère. Edson de Faria, quand il régale pas au foot, il régale de ses mariages ratés !

Il a même changer de surnom pour ne pas
être reconnu. Mais ses cheveux gominés l'ont trahit...

mercredi 22 mai 2013

??? DEVINETTE ???

Aujourd'hui, devinette. Je suis un footeux Suisse, j'ai joué de 90' à 2001 dans mon pays entre Lugano et les Grasshopper. On m'a prêté durant cette période en Espagne, a Estrémadure, puis en Italie, à Cagliari. Je suis finalement acheté par un club Français, qui préfère jouer dans un chaudron que dans un stade. N'ayant pas vraiment de ressemblance avec une louche, je fuis ces vertes contrées pour revenir sur mes terres, à Bâle. Malgré un petit passage bonus chez les ritals, à Varese, je me finirai pénard là où tout à commencer, Lugano. Je précise par ailleurs, que je n'ai jamais marqué l'histoire d'un de mes clubs, et que mes trois sélections étaient surtout dues aux blessures des meilleurs. Qui suis-je ?


Envoyé vos réponses par bulletin de jeu avec un chèque de
150 € à l'ordre de moi.

Le tirage au sort aura lieu pour savoir qui remporte la surprise vraiment trop génial sponsorisée par
les loosers de l'As Nancy Lorraine. 

mardi 21 mai 2013

Mickaël DOGBE

Aujourd'hui, un attaquant. Français, il va très vite joué de ses origines pour taper à la porte de la sélection Togolaise, sentant bien que le niveau requis pour la France A est carrément inatteignable. Il débute donc a Grenoble, en 2000, et ses 26 goals en 65 apparitions lui permettent de filer chez les voisins verts du 42. 2 ans, 44 matchs et 4 buts. Magnifique. Les Stéphanois veulent donc refourguer leur plaie, et c'est Rouen, enlisé dans les bas fonds, qui fait office de pigeon. 1 année pleine, soit 4 pions, et le voilà tricard au sein de notre beau pays. Il dégage fissa, et enfile un maillot des Emirats Arabes Unis, le Bani Yas. Puis un autre, à Dubaï. En 2008, il tente bien un retour en France, mais Boulogne n'est pas friand de son talent caché. 4 petits matchs sans finitions et puis s'en va. Il se lance alors dans une aventure en Egypte, et revient la queue basse en 2011 entre Fleury-Merogis et Linas où il sévit encore... Mickaël sans Dogbé -néfices.

Un épervier qui a repéré sa proie.
Le hot-dog d'un supporter...

vendredi 17 mai 2013

Emra TAHIROVIC

Aujourd'hui, on se penche sur une belle brêle comme on les aime. Né a Sarajevo, il s'installe très tôt avec la famille en Suède, guerre oblige. On ne peut alors que penser à un destin à la Zlatan. Mais hormis le fait que notre bonhomme joue aussi sur le front de l'attaque, il n'y a pas de comparaison possible. Car ses débuts sont très peunots, entre Orebro et Halmstad, où il compile 11 pions en 3 ans. Mais en 2007, Lille se fait avoir. Et ses matchs dans le Nord se compte sur les doigts de la main d'un lépreux. Aucun but plus tard, il est prêté à Zurich qui malgré ses 2 miséreux buts en 16 matchs achète l'imposture. Il est encore sous contrat avec les Suisses, qui l'a déjà prêté 3 fois sans succès. Bon, il a 25 ans, tout espoir n'est pas encore perdu. Mais ça sent le roussi pour toucher le million par mois, Emra Tahirovic...

A défaut de marquer, Emra pense. Trop.







Un grand merci à l'Anonyme pour ses propositions !!

mercredi 15 mai 2013

Olivier MAKOR

Aujourd'hui, Libérien. Le mec est milieu de terrain, et après son passage chez les Black Stars Libériennes atterrit au Nigéria. 1 saison au Julius Berger, suivi d'une saison au Cameroun, au Canon. En 94', le voilà qui goûte enfin à l'Europe. Et c'est à Grenoble qu'il pose ses valoches. Pas la destination la plus sex du foot Frenchie, mais ses 2 saisons lui ouvre les porte de Tours. Puis Limoges, en 97'. en 1999, il comprend qu'il n'a pas d'avenir dans le pays champion du monde. Il file en Grèce, bouffe de la feta à outrance, se fait 2 clubs moisis avant de rester 7 ans à Ionikos. 2009, 10 ans après son arrivée sur les terres Hellènes, il se découvre une nouvelle passion pour l'Indonésie. 2 clubs depuis 2010, malgré ses 39 printemps bien tassés... Olivier Makor mineur.

Il y a un intrus sur la photo.
Sauras-tu deviner qui est Olivier ?

mardi 14 mai 2013

Rodrigo Fernandes Alflen RODRIGAO

Aujourd'hui, on se penche sur une des trouvailles du staff Stéphanois. On est en 2001, et les Verts recrute un mec qui tarif 14 buts depuis 2 saisons et ses débuts au pays de la samba. Le voilà à la pointe de l'attaque d'un club de Ligue 1. Mais, n'en déplaise à Brandao, le mec est plutôt "pauvre", pour ne pas dire nul a chier. Son excuse de la pubalgie qu'il traîne n'y changera rien. Au bout de 7 matchs farces, il dégage, vagabonde de prêts en prêts au gré du vent, et fini par trouver un club pour l'acheter. A Santo André, on croit en lui, et il le rend bien. 5 pions en 6 matchs, et vite, on revend. Paranaense se fait avoir. Le prête au gré du vent (bis). En plus, il se colle une Hepatite. Après un bref passage raté au Mexique, il revient au Brésil et Santo André, sans la réussite qu'on lui a connu. Le vent a du tourner... Rodrigao, girouette.

Rodrigao
Dreamcast
Géant
Une triplette perdante.

mercredi 8 mai 2013

Devinez quoi ??

C'EST LES VACANCES !!!

Alors pas de posts !!

Mais ca va revenir vite !!

En attendant, voilà une vidéo pour ceux qui ne l'ont pas vu.

Continuez à m'envoyer vos propositions de footeux en carton, régalez-vous avec des déclarations hilarantes de Leonardo, avec des mensonges gros comme le melon de Royston Drenthe de nos politiciens, et avec la vision totalement obstruée par les billets verts de la corruption de Michel "pas de video" Platini.

Et n'oubliez pas : "Football is a simple game; 22 men chase a ball for 90 minutes and at the end, the Germans win." 

Gary Lineker ne croyait pas si bien dire...