tag:blogger.com,1999:blog-40565733182397819342024-03-14T03:08:51.680+01:00Ces Bons vieux Joueurs...Laissez-moi vous rappeler un joueur par jour.
Les Cracks, les espoirs, les déchus, les buses, les cul-de-jatte...
Il y en a pour tout le monde !Unknownnoreply@blogger.comBlogger700125tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-50126563824037930042021-03-07T09:17:00.000+01:002021-03-07T09:17:22.535+01:00Stephane DALMAT<p> Aujourd'hui, un éternel espoir Français. Un futur ex-futur Zidane, mais plutôt milieu relayeur. Après des débuts pro à la Berrichonne, il découvre le haut niveau à Lens, en 98'. Une saison et c'est le record qui tombe ! Plus gros transfert entre 2 clubs français à l'époque (10,5 M€), il file à l'OM. Son club de coeur ne lui fait pas de cadeau. Une saison médiocre plus tard, Marseille a besoin de caillasse pour recruter toujours plus mauvais. Alors ils refourguent notre ami au PSG. C'est la fameuse époque des titis Parisiens avec les Luccin, Mendy, et toute la clique. Et un certain Pochettino en défense... Avec ses lascars, il est mauvais, s'embrouille avec l'inénarrable Luis Fernandez et dégage à l'Inter Milan en échange d'un certain <a href="http://vieuxfooteux.blogspot.com/search?q=vampeta">Vampeta</a>... 2 saisons et demi en tant que complément dans l'effectif Italien. C'est la période la plus stable de sa carrière... Prêté à Tottenham, puis à Toulouse, c'est toujours le même scénario : Des débuts prometteurs puis une blessure et des contres performances. Il signe finalement 5 ans à Santander en 05'. On entrevoit la lumière d'un mec mature qui veut se poser. Autant pisser dans un violon. Il s'embrouille avec le président et rompt son contrat en décembre de la même année ! Belle perf ! Il va finalement rejoindre les Girondins, jouer très peu et signer à Sochaux. Quasi 3 ans et devenant même capitaine, il tente l'aventure Rennaise en 2010. Ce sera un échec, mais cela n'étonnera personne... </p><p>Stéphane Dalmat, promesses non tenue. </p><p><br /></p><p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://s.hs-data.com/bilder/spieler/gross/3786.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="400" height="320" src="https://s.hs-data.com/bilder/spieler/gross/3786.jpg" width="256" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Beaucoup d'erreurs ont été commises,<br />et pas que dans le choix de ses clubs... </td></tr></tbody></table><br /> </p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-44201293530653779642021-03-05T08:02:00.000+01:002021-03-05T08:02:25.913+01:00Edixon PEREA<p> Aujourd'hui, un avant centre dans la plus pure (pire) tradition des impostures.</p><p>Le mec est Colombien, et après une formation intéressante, le voilà au Deportivo Cali, entre ballons, rails de coke et FARC. Entre 2003 et 2005, il va claquer du caramel à 38 reprises pour 86 matchs. Suffisants pour attirer l'Europe. Et c'est un Bordeaux ambitieux qui empoche la mise. On parle là d'une pépite, en plus d'être un joyau Football Manager. Bon, après 53 matchs, 7 malheureux pions et malgré une hargne de chien de la casse, il dégage pour 800kE à Porto Alegre. 2 petites saisons et pas grand chose plus tard, retour sur le veux continent et l'Espagne. Las Palmas. Toujours une région côtière, coïncidence sans doute. Et pas un seul but. Il va tenter la saison 2011 au Mexique, pour un filoche tous les 3 matchs. Ca lui permet de décrocher un contrat Chinois, jouer peu, être prêté à Cali, puis finir à Budapest ! Avec les stats d'un défenseur. </p><p>Edixon Pere-a la plage. </p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://images.mediotiempo.com/9r_Dxe8J1JDTv2Y77Xr8pCigxjA=/958x596/uploads/media/2016/05/12/edixon-perea-se-siente-ilusionado.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="498" data-original-width="800" height="199" src="https://images.mediotiempo.com/9r_Dxe8J1JDTv2Y77Xr8pCigxjA=/958x596/uploads/media/2016/05/12/edixon-perea-se-siente-ilusionado.jpg" width="320" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Son meilleur placement</td></tr></tbody></table><br /><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-29132637780386696232021-02-22T18:32:00.006+01:002021-02-22T18:32:59.988+01:00Souleymane YOULA<p> Aujourd'hui, on se penche sur le cas d'un Guinéen buteur. Après la découverte du haut niveau chez nos amis Belges en 99', il va filer en Turquie qui deviendra sa deuxième patrie. A Gencerbirligi, il joue 157 matchs pour un peu moins de 60 patates. Suffisant pour lui ouvrir les portes du grand Besiktas. Raté. Il ne joue quasiment pas. Plante encore moins. Et file en prêt à Metz, descend en Ligue 2, puis est acheté par les Chtimis Lillois. Cet espèce de corridor du froid et de l'accent indéfinissable entre la Lorraine et les Ch'tis ne le mène a rien. Il ne score que 2 misérables pions et fout le camp en Turquie. 3 clubs plus tard, on est en 2011. Il ne trouve rien, reste 1 année complète sans jouer, et replonge dans les bas-fonds belges. Suivront Amiens, Honved en Hongrie, la D2 Amerloque et retour en Belgique. Je vous passe les stats... Notons tout de même 17 filoches en 38 sélections. Souleymane Hip Hip Hip... YOULA !</p><p><br /></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://c8.alamy.com/comp/2E80HH6/besiktas-souleymane-youla-r-celebrates-his-goal-against-vitoria-guimaraes-with-his-team-mate-ahmed-hassan-during-their-uefa-cup-group-h-soccer-match-at-afonso-henriques-stadium-in-guimaraes-december-14-2005-reutersmiguel-vidal-2E80HH6.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="668" data-original-width="800" height="267" src="https://c8.alamy.com/comp/2E80HH6/besiktas-souleymane-youla-r-celebrates-his-goal-against-vitoria-guimaraes-with-his-team-mate-ahmed-hassan-during-their-uefa-cup-group-h-soccer-match-at-afonso-henriques-stadium-in-guimaraes-december-14-2005-reutersmiguel-vidal-2E80HH6.jpg" width="320" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Cette photo date de 2005. <br />Les mecs se check le coude.<br />Covid back in the future.<br /><br /></td></tr></tbody></table><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><p><br /></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-46975612501129523102020-02-17T19:55:00.001+01:002020-02-17T19:55:10.513+01:00WELDONAujourd'hui, un p'tit plaisir Brésilien comme on les aime. Des débuts prometteurs dans son pays, quelques pions à droite à gauche, 2-3 transferts qui engraissent plus les agents que l'armoire à trophées, et hop, on s'échappe du pays. Direction Al-Nasr. Direct. Pas de polémiques. Message très clair. Bon, c'est une saison ratée, alors retour au bercail à Cruzeiro. Puis rebelote. Et c'est Sochaux qui se fait bananer. Puis Troyes, l'année suivante ! Bon, c'est encore un échec. Alors retour au Brésil, puis de nouveau le passeport qui chauffe. Direction le Portugal. On est en 2007, notre loustic a 27 ans, n'a jamais claqué plus de 8 buts sur une année, malgré son poste d'attaquant. Et vlan ! 12 pions en 30 matchs. Il retourne malgré tout au Brésil, puis revient par la grande porte, au Benfica, en 2009. Chapeau messieurs les agents. Bon, il est proche du néant, signe en Roumanie, puis file en Chine, ou il disparaît complètement. Clap de fin. Weldon, mal joué.<br />
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<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://1.bp.blogspot.com/-yb6nw3Bi_CA/XkrhUjMInyI/AAAAAAAAbfw/H_B2CV_ha1ctCQU8yJptDRDQTnPYugZgQCEwYBhgL/s1600/weldon.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1234" data-original-width="1600" height="246" src="https://1.bp.blogspot.com/-yb6nw3Bi_CA/XkrhUjMInyI/AAAAAAAAbfw/H_B2CV_ha1ctCQU8yJptDRDQTnPYugZgQCEwYBhgL/s320/weldon.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Grand classique. <br />Le "raté"</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-72980903259787727682020-02-17T19:28:00.000+01:002020-02-17T19:28:51.629+01:00Luigi PIERONIAujourd'hui, un de ces buteurs de Ligue 1 dont on se demande tous par quel miracle il s'est retrouvé sur les terrains de notre championnat ! Après une fin de formation au Standard de Liège, il n'est pas conservé par les Rouches, et débarque dans les sous divisions Belges avec le RFC Liège puis à Mouscron où il fait la meilleure saison de sa carrière. Il est jeune, a du potentiel. Et il fera sa carrière la dessus. Car tout le reste ne sera que stats à faire peur, blessures et bas de tableau. Auxerre, Nantes, Lens, Anderlecht... Pour finir le tout à Arles Avignon ! On est dans le vrai. Luigi Pieroni bon ni mauvais.<br />
<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://1.bp.blogspot.com/-TOj_2TW4k30/XkrbTPadPHI/AAAAAAAAbfk/Bz8MPSnTsOI31cAaAsA1bkpTC4kwqg9mwCLcBGAsYHQ/s1600/pieroni.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="240" data-original-width="512" height="187" src="https://1.bp.blogspot.com/-TOj_2TW4k30/XkrbTPadPHI/AAAAAAAAbfk/Bz8MPSnTsOI31cAaAsA1bkpTC4kwqg9mwCLcBGAsYHQ/s400/pieroni.jpg" width="400" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les 3 frères</td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-55328444352078401972019-03-10T09:23:00.000+01:002019-03-10T09:23:01.643+01:00Bryan BERGOUGNOUXAujourd'hui, un milieu offensif / attaquant. Formé à Lyon, il se met très vite en avant chez les jeunes. Débuts en 2001 puis affirmation en 2004, où il est dans le roster Lyonnais. Quelques buts, découverte de la Champion's, meilleur buteur du tournoi de Toulon et hop ! Il est refourgué à Toulouse. Faut dire que l'arrivée de Houllier sur le banc Lyonnais lui laissait peu de chances de jouer. Au TFC, c'est 4 ans d'amour vache, jamais plus de 4 pions la saison, et un départ pour l'Italie. On est en 2009, et l'espoir s'engage à la Juv... Euh non, à Lecce. Des bouts de matchs en série B, des prêts à Chateauroux et Nicosie (!!) et le voilà qui rature le contrat de Tours. Il en deviendra le capitaine, y jouera 6 ans, claquera 25 caramels, bref, pas de quoi ouvrir une confiserie... Bryan Bergougnoux t'es, Bryan où t'es ?<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://1.bp.blogspot.com/-_I8-p5jsXuk/XITHlnVYEpI/AAAAAAAAW2I/5hf-GcwvxuwWjQ4o56egQH9ITaEuuEUiwCLcBGAs/s1600/Capture-d%25E2%2580%2599%25C3%25A9cran-2015-06-19-%25C3%25A0-12.21.18-e1434709391888.png" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="534" data-original-width="966" height="220" src="https://1.bp.blogspot.com/-_I8-p5jsXuk/XITHlnVYEpI/AAAAAAAAW2I/5hf-GcwvxuwWjQ4o56egQH9ITaEuuEUiwCLcBGAs/s400/Capture-d%25E2%2580%2599%25C3%25A9cran-2015-06-19-%25C3%25A0-12.21.18-e1434709391888.png" width="400" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Quand Bryan signait au Barça, en échange de Messi au Tours FC.<br /><span style="font-size: large;">🙈</span></td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://4.bp.blogspot.com/-cDpOwR8dHjg/XITI3Lm1p_I/AAAAAAAAW2U/wSDzcpgXS381_C5fqzYIGblaT3kS_1FGgCEwYBhgL/s1600/IMG_20181007_121520.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1200" height="320" src="https://4.bp.blogspot.com/-cDpOwR8dHjg/XITI3Lm1p_I/AAAAAAAAW2U/wSDzcpgXS381_C5fqzYIGblaT3kS_1FGgCEwYBhgL/s320/IMG_20181007_121520.jpg" width="240" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
Merci Bryan ! Collector !!</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-55802883255055429082018-06-07T18:22:00.002+02:002018-06-07T18:22:25.479+02:00Pablo CONTRERASAujourd'hui, un défenseur "coupe-rotule". Le bonhomme voit sa carrière débuter en 97' à Colo-Colo, puis très vite son approche tout en douceur séduit Monaco, qui le signe en 99'. Il faut dire qu'avec les <a href="http://vieuxfooteux.blogspot.com/2012/09/martin-djetou.html" target="_blank">Djetou</a>, <a href="http://vieuxfooteux.blogspot.com/2012/02/philippe-charles-lucien-christanval.html" target="_blank">Christanval</a>, Riise, Sagnol et autres Marquez, le sang coule a flot à Louis II et son amour pour les tacles à la glotte lui permet de se fondre parfaitement dans la masse. Les attaquants tachent leur froc à chaque approche de la base arrière. Après 1 an et 1/2 de massacre, bonjour l'Espagne et Vigo. Il y jouera 6 ans, avec quelques prêts par-ci par-là. Il découvrira ensuite le Portugal puis la Grèce, avant une dernière pige à Colo et 1 match en Australie. Pablo Contreras, chilien fou.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://media.gettyimages.com/photos/emile-heskey-of-the-jets-avoids-a-sliding-tackle-from-pablo-contreras-picture-id461638647" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="478" data-original-width="800" height="191" src="https://media.gettyimages.com/photos/emile-heskey-of-the-jets-avoids-a-sliding-tackle-from-pablo-contreras-picture-id461638647" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une victime de plus.</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-893198485770974802018-05-29T08:22:00.000+02:002018-05-29T08:22:18.418+02:00Emmanuel OMOYINMIAujourd'hui, attaquant à la sauce Anglaise. Notre homme est Anglo-Nigérian, et fait ses classes à West Ham. Dans le nord de Londres, il se forme, arrête de grandir à 1,68m, se veut précurseur des petits mais aux appuis de folie, et dès 95', se fait prêter au gré du vent. On sent bien que ça ne prend pas... 6 prêts en 5 ans, 7 buts en une grosse quarantaine de matchs. On est loin du serial buteur recherché par les Hammers (qu'ils n'ont toujours pas trouvé depuis...) Ils refourguent le bonhomme à Oxford. 67 matchs, 9 pions et quelques pages blanches plus tard, on repart pour une série de prêts. Plus on avance, plus c'est bas dans les échelons du foot British. En 2006, après avoir goûté aux bas fonds, il raccroche, fort de 29 patates en 179 rencontres. Manu Omoyinmi -sère.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://l7.alamy.com/zoomsfr/g98e5a/soccer-division-de-la-ligue-nationale-deux-notts-county-v-gillingham-g98e5a.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="540" data-original-width="349" height="400" src="https://l7.alamy.com/zoomsfr/g98e5a/soccer-division-de-la-ligue-nationale-deux-notts-county-v-gillingham-g98e5a.jpg" width="257" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Il poussait le ballon par son seul souffle. Un génie.</td></tr>
</tbody></table>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-65308258367248968902018-05-26T08:30:00.001+02:002018-05-26T08:32:47.149+02:00Marcelo "El Matador" SALASAujourd'hui, un petit hommage à un grand buteur des 90's et 2000. Le bougre est Chilien, et à connu une série de clubs délicieuse pour l'époque. On est en 94', il débute dans son pays, sous les couleurs de l'Universidad de Chile. 76 tacos en 126 matchs, c'est bien assez pour passer au niveau supérieur. Bonjour le peuple Argentin, le Monumental, les Millonarios. Le coquin vient claquer 31 buts en une soixantaine de matchs et 2 saisons. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Rome, côté Laziale, maillot mythique et coéquipiers sauvages. La Lazio le bichonne 3 ans durant. Vas-y que j't'empoche un titre de champion, une coppa, une C2 (défunte coupe d’Europe pour les plus jeunes ;) et un transfert à la Juve. Lourd. Son passage à Turin est moins prestigieux, pas pour les titres qui continuent à tomber, mais pour le banc qu'il cire trop souvent. Pas grave, il retourne à River, puis finit à Universidad de Chile, pour boucler cette magnifique boucle. Un petit mot pour évoquer son duo incroyable avec Zamorano en sélection. 2 chiens fous plein de hargne. Marcelo Salas, muchas gracias.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://i1.wp.com/4.bp.blogspot.com/-80RcWQpPzr4/WVfDV_cR4hI/AAAAAAAAbUo/KMIKv7A-oF8Tp87nYQ4Viwh9HpGK2Tv9gCLcBGAs/s1600/Christian-Vieri-lazio.jpg?resize=640%2C427&ssl=1" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="533" data-original-width="800" height="266" src="https://i1.wp.com/4.bp.blogspot.com/-80RcWQpPzr4/WVfDV_cR4hI/AAAAAAAAbUo/KMIKv7A-oF8Tp87nYQ4Viwh9HpGK2Tv9gCLcBGAs/s1600/Christian-Vieri-lazio.jpg?resize=640%2C427&ssl=1" width="400" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Ca va cogner dur...</td></tr>
</tbody></table>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-62594011863792832842018-05-17T17:40:00.002+02:002018-05-17T17:40:38.149+02:00Bjorn RUNSTROMAujourd'hui, buteur Suédois. Je devine aisément à qui vous pensez, mais ce n'ai pas le grand tout fou qui highkick ses adversaires, et partenaires. Non, je vous parle d'un mec qui à fait ses classes à Hammarby, puis à très vite filé en Italie. On est en 2001, il signe à Bologne, ne joue pas, se lasse des spaghettis et signe au Chievo, pour Juliette. (ou Roméo). 1 match, toujours pas de but, alors on file à la Fio. 2 matchs vierges de toute banderille, et c'et le retour dans sa Suède natale. Hammarby le récupère, 2 ans pour 54 matchs et 18 buts ! L'apogée de sa carrière. Tentative a Fulham, raté, prêt à Luton puis Kaiserslautern, ratés, départ pour le Danemark, raté. 2011, 2eme come-back à Hammarby. 3 pions, une signature de 3 mois aux States, et la fin. Bjorn Runstrom -ediocre.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://4.bp.blogspot.com/-1ShYCSj0IPs/Wv2iNj7Nk4I/AAAAAAAAQ0Y/WOt0cEnoCvgZUKOfTShB5QzuzR7qjP7WACLcBGAs/s1600/runstr__m_bj__rn-1185201081_zoom65_crop_400x300_400x300%252B35%252B25.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="300" data-original-width="400" height="240" src="https://4.bp.blogspot.com/-1ShYCSj0IPs/Wv2iNj7Nk4I/AAAAAAAAQ0Y/WOt0cEnoCvgZUKOfTShB5QzuzR7qjP7WACLcBGAs/s320/runstr__m_bj__rn-1185201081_zoom65_crop_400x300_400x300%252B35%252B25.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Même avec une gastro, il jouait. </td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-89341522484470964402018-05-14T17:46:00.000+02:002018-05-14T17:46:26.744+02:00John CAREWAujourd'hui, buteur. Un serial scoreur ? Un matraqueur de filoches ? Un distributeur de cacahuètes ? Un dézingueur des surfaces ? A vous de juger. Un Norvégien, dont le père est international Gambien, et la mère Norvégienne. Formé à Valerenga, il y claque 30 patates en 50 matchs. Il a pas 20 ans, frôle les 2 mètres, et les défenses norvégiennes n'ont pas l'habitude de défendre sur un mec qui ressemble plus à un tronc d'arbre qu'un viking. Il signe à Rosenborg, plante 24 pions en 30 matchs et file en Espagne. Sous le soleil de Valence, il joue 3 ans, perd une finale de champion's et est prêté à la Roma. Parce que 28 buts en 130 matchs, c'est trop peu pour un prétendant à la coupe aux grandes oreilles. C'est pas folichon à Rome non plus, avec 8 buts sur les 29 matchs qu'il joue. Direction la Turquie et Besiktas, pour 14 buts. Viennent alors sonner à sa porte les dirigeants de l'OL, qui le scrute depuis longtemps. Très vite, il est catalogué en Ligue 1 comme un bûcheron jouant en pivot. Il écrase comme des mouches les pauvres défenseurs de Lille, Ajaccio ou autres Marseillais. Mais les arbitres sifflent plus vite que leur ombre. Malgré quelques jolis buts et des coups d'éclats en champion's, il dégage a bout d'un an et demi. Aston Villa, puis un prêt à Stoke et une fin à West Ham. 91 cape en Norvège, 24 buts. John Carew, déménageur finisseur.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://www.thesun.co.uk/wp-content/uploads/2016/07/hovdinger.jpg?w=960" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="432" data-original-width="800" height="216" src="https://www.thesun.co.uk/wp-content/uploads/2016/07/hovdinger.jpg?w=960" width="400" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><br />Quand on a dupé des dirigeants de foot pendant 15 piges, <br />on peu bien bananer un réalisateur...</td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-44346734785898772672018-05-13T08:51:00.001+02:002018-05-13T08:51:58.632+02:00Marcelo ZALAYETAAujourd'hui, un buteur Uruguayen. Formé au Danubio, il signe dès 97' au Penarol. La courbe classique d'un joueur local. 1 an aussi, des stats quasi similaires, et c'est le grand saut. La Juve. Il a pas 20 ans et s'embarque pour 10 ans à Turin, entrecoupé de quelques prêts à Empoli, Séville et autre Napoli ou Perugia. Des performances moyennes, une dizaine de pions par saison au mieux. Après un passage en Turquie, il finira au Penarol. 35 Capes tout de même, et quelques cacahuètes. Marcelo Zalayeta -tane.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRos5C4-EVxPF6pTDtqAjx9NVVh5IN1-iLobZiqACzMt6YR7q9Xow" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="180" data-original-width="281" src="https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRos5C4-EVxPF6pTDtqAjx9NVVh5IN1-iLobZiqACzMt6YR7q9Xow" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La cisaille Uruguayenne</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-901730027194667282018-05-04T17:39:00.001+02:002018-05-04T17:39:23.184+02:00Valmiro Lopes Rocha VALDOAujourd'hui, Cap-Vert. Notre margoulin est ailier. Formé au Real Madrid, il arrive dans le groupe pro en 2002, au milieu des Galactiques. Dur de se faire une place. 1 match, et puis le prêt à Osasuna. Il ne le sait pas encore mais il s'embarque pour une carrière "à la Gravelaine". 15 ans de carrière, 13 clubs, entre Espagne, Mexique, Inde, Grèce, sans jamais connaitre le haut du panier. Pourtant, avec un surnom pareil, Valdo espérait mieux, le candide...<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://afriquesports.net/wp-content/uploads/2017/07/31e4b9bdf0b1f38c86633480b281cd03-real-madrid.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="504" data-original-width="368" height="320" src="https://afriquesports.net/wp-content/uploads/2017/07/31e4b9bdf0b1f38c86633480b281cd03-real-madrid.jpg" width="233" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">C'est sûr qu'entre les Guti, Figo, Zidane et autre<br />
McManaman, tu retires ton marcel et tu dégages.</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-37525682261307690142018-05-03T17:45:00.001+02:002018-05-03T17:45:33.868+02:00Jan KOLLERAujourd'hui, attention, on prend de la hauteur ! Attaquant Tchèque, il sort des standards en assumant pleinement un double mètre. Aussi vif qu'un éléphant sous somnifères, il amuse ses copains Pavel Nedved et autre Novotny par sa technique en dessous du niveau 0. Le Sparta Prague le refourgue vite à Lokeren, en Belgique, où ses pions en pagaille attire vite les recruteurs d'Anderlecht. 2 ans et 58 cahuètes plus tard, il ne fait plus rire. Notre slave s'embarque pour le gotta à bord BVB. Il y jouera 5 ans, cassera les filets 80 fois et se pétera en 2005. Pour se relancer, quoi de mieux que le soleil, la caillasse et les casinos de Monaco ? Passage tristounet qui le renverra en Allemagne, à Nuremberg, puis en Russie avant de revenir à Cannes, pour le fun, et la côte d'azur. Jan Koller jaune et noire.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQnU48TzlOL7rFzSds4jQ81K41ur2_dMHNbU47fb-t5TmLvUDJr9w" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="205" data-original-width="246" src="https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQnU48TzlOL7rFzSds4jQ81K41ur2_dMHNbU47fb-t5TmLvUDJr9w" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le mur Jaune</td></tr>
</tbody></table>
<br />
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-10216763904776051412018-05-02T17:38:00.002+02:002018-05-02T17:39:04.243+02:00Zvonimir BOBAN<br />
Aujourd'hui, artiste ! Notre bonhomme est Croate, il joue milieu offensif, et joue jusqu'à ses 23 bougies dans son Dinamo Zagreb formateur. Il éclabousse de son talent le championnat local, et attire les convoitises des plus grand. Et le mastodonte à l'époque, c'est le Milan AC. Alors banco ! Il commence par un petit prêt à Bari, mais le Milan comprend très vite qu'il faut qu'il prenne le contrôle de son entre-jeu. De 1992 à 2001, il va distribuer des caviars et claquer des caramels de fous. Il finira au Celta Vigo, mais on s'en fout. Capitaine de la Croatie 3eme de la coupe du monde 1998, il est un héro dans cette partie d'ex Yougoslavie. Zvonimir Boban, pas de bobards.<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://images.performgroup.com/di/library/GOAL_INTERNATIONAL/eb/65/zvonimir-boban-croatia-euro-96-20061996_17ix6qvb78ydh1m938yvwybhbg.jpg?t=-598097479&w=940" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="800" height="225" src="https://images.performgroup.com/di/library/GOAL_INTERNATIONAL/eb/65/zvonimir-boban-croatia-euro-96-20061996_17ix6qvb78ydh1m938yvwybhbg.jpg?t=-598097479&w=940" width="400" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Euh... Le paquet de clopes ? La casquette ? La glace ? Ou la nappe rose ?<br />
<br />
<br />
Bonus : régalez vous les cochons !</td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/YgpbOZb8CrI/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/YgpbOZb8CrI?feature=player_embedded" width="320"></iframe></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-75123697260095858312018-05-01T19:05:00.002+02:002018-05-01T19:05:58.784+02:00Lamine DIATTAAujourd'hui, on se concentre sur un bon viandard. Défenseur devant l'éternel, il découvre le monde pro à Toulouse, et file très vite à l'OM. Une très belle opération pour Marseille, qui le refourgue 15 jours plus tard à Rennes. La célèbre gestion "à la phocéenne". Mais notre découpeur en chef se fout des transactions sombres des sudistes et régale les bretons pendant près de 5 ans, embrochant allègrement ses adversaires du haut de ses crampons affûtés. Cela suffira à convaincre le géant du moment, l'OL, à l'installer sur le champs. Aux côtés de Cris et autre Abidal, il dégomme les tibias tout autant que les ballons. Après 2 ans et 2 titres, il prouve tout son amour pour le maillot en signant à l'ASSE, et emmerde tout le monde. C'est le début de la fin. 1 saison, puis l'exil à Besiktas. Mais il ne joue que les matchs pourris, puis file à Newcastle. On est en 2008, il est rincé. 2 matchs, puis l'Ecosse, le Qatar, et la Tunisie. Il finira par un dernier contrat sans jouer à Doncaster.<br />
Quand y'a Lamine, Diatta jambe en morceaux.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://media.gettyimages.com/photos/newcastles-debut-defender-lamine-diatta-is-congratulated-by-joey-at-picture-id80534978?s=612x612" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="612" data-original-width="541" height="320" src="https://media.gettyimages.com/photos/newcastles-debut-defender-lamine-diatta-is-congratulated-by-joey-at-picture-id80534978?s=612x612" width="282" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">2 poètes. 1 passion.</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-37189517728752130862017-11-01T09:20:00.000+01:002017-11-01T09:20:02.929+01:00Robert MALMAujourd'hui, un vrai bourlingueur. Qui a la particularité de n'avoir joué qu'en France. Par choix ou manque d'offre ? Toujours est-il que notre attaquant Franco-Togolais va faire plusieurs fois le tour de France. Après des débuts à Lens puis Dunkerque, l'ami du nord va enchaîner 12 clubs pour 530 matchs entre L1 et L2. Et 198 pralines dans les filoches. Un ratio de 0,37 qui fait saigner des yeux Cristiano mais qui a émerveillé des milliers de fans franchouillards.Robert Malm-menez nous à travers l'hexagone.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-640x360/public/2013/10/03/robert-malm-se-regale-en-jouant-au-consultant0.jpg?itok=SK-6lxEl" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="180" src="https://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-640x360/public/2013/10/03/robert-malm-se-regale-en-jouant-au-consultant0.jpg?itok=SK-6lxEl" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Robert en moumoute.<br />Ou Rhoff en imposture.<br />Au choix</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-74757041233108064102017-10-18T20:11:00.002+02:002017-10-18T20:11:07.927+02:00Mako MARICAujourd'hui, c'est un bon gars qui va nous intéresser. Un chic type donc, à en croire les différents clubs de sa (pauvre) carrière. Car du côté des stats, on trouvera toujours plus de chiffres sur un bulletin de notes de CP que sur son curriculum. Tout commençait pourtant bien, avec des débuts au NK Zagreb et le capitanat de la sélection espoirs Croates, après avoir connu toutes les catégories jeunes. En 2005, à 22 ans, il rejoint un club Grec inconnu, Aigaleo, et se perd. Définitivement.<br />
Malgré la tentative du LOSC de le relancer en 2007, il quitte le Ch'nord 2 ans après, pour 6 matchs. Retour en Grèce, à Skoda, sans doute pour le privilège de rouler en Yeti. Il finira par 1 match aux States, avant de sonner le glas. Marko Maric, pauvre.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://mfs1.cdnsw.com/fs/Root/239w-marko_maric_losc.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="559" height="320" src="https://mfs1.cdnsw.com/fs/Root/239w-marko_maric_losc.jpg" width="223" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Je mets une main devant, je mets une main derrière, je fais un plat du pied. La méthode Puel.</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-21664832422262653492017-10-11T19:38:00.001+02:002017-10-11T19:38:28.949+02:00Chris "Magic" WADDLEAujourd'hui, c'est un hommage qui vient du fond du coeur. Il a bercé mon enfance, m'a fait rêvé, et m'a fait découvrir le vrai spectacle sur un terrain de foot. Un style inimitable, pas de prise de tête, un transfert record à l'époque, un english sur la cannebière, la cooupe aux rideaux. Bref, un joueur hors normes, capable de claquer un passement de jambes alors que personne ne le faisait et d'enrouler un mine dans la lunette dans la foulée, puis de se vautrer lamentablement sur un terrain détrempé et simuler un patineur en se relevant.<br />
Un mec qui n'est resté que 3 ans dans notre championnat, qui a été joueur de l'année outre manche, qui compte 62 sélections anglaises, qui a porté le mythique maillot Panasonic et qui sirote le scotch comme on sirote une grenadine.<br />
Pour m'avoir émerveillé, avoir fait chuté le grand Milan, et être un des rares anglais à avoir percé ailleurs qu'en Premier League, et surtout pour toutes tes mimiques, tes grimaces, tes gris-gris et tes skills de fou dingue, Chris Waddle, je te remercie.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://www.footballandmusic.co.uk/wp-content/uploads/2010/01/article-2271866-174A53AC000005DC-594_964x729.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="605" data-original-width="800" height="241" src="https://www.footballandmusic.co.uk/wp-content/uploads/2010/01/article-2271866-174A53AC000005DC-594_964x729.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">"Les tringles sont la-bas" </td></tr>
</tbody></table>
<br /><div>
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/-Xg8wg0FFu0/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/-Xg8wg0FFu0?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
<div>
<br /></div>
Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-59631918719673031082016-07-09T07:52:00.000+02:002016-07-09T07:52:09.450+02:00Pablo BONVINAujourd'hui, ce n'est pas un cubi de vinasse foireux que l'on va décortiquer, mais bel et bien un (censé) buteur Argentin. Issu de la belle ecole de Boca Junior, il joue à peine 2 matchs pro et 1 but que c'est l'emballade ! Pas le temps de tergiverser, monsieur est en avance sur son temps et file dès l'an 2000 en Angleterre. A Newcastle, là ou pluie et froid se battent en duel 11 mois de l'année. Notre Argentin s'y sent comme un poisson au Sahara. Il est vite prêté à Sheffield, mais c'est tout pareil. Il fera quand même quelques matchs, 23, pour 3 miseruex buts. Retour en Argentine, mais il est grillé. Le reste de sa carrière sera de la D2 Mexicaine, Argentine et Equatorienne. Pablo Bonvin, piquette.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://1.bp.blogspot.com/-70r9rFQWfUA/V4CRAAAfcNI/AAAAAAAAJOU/PU0sTdLgQXwVvOTxC7NHMnehzO5bBDVzwCLcB/s1600/13070-zoom.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="203" src="https://1.bp.blogspot.com/-70r9rFQWfUA/V4CRAAAfcNI/AAAAAAAAJOU/PU0sTdLgQXwVvOTxC7NHMnehzO5bBDVzwCLcB/s320/13070-zoom.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: 12.8px;">On sent toute la technique d'un lendemain de cuite.</span></td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-9839114751783021722016-07-03T17:00:00.001+02:002016-07-03T17:00:28.942+02:00Chris KIWOMYAAujourd'hui, un attaquant Anglais. Il débute à Ipswich et entre 87' et 95', joue 225 fois pour 51 pions. Un bon ratio, surtout qu'à l'époque, il n'y avait ni Messi ni Ronaldo pour claquer 60 caramels par saison. Du coup, Arsenal flair le bon coup. Le voilà chez les Gunners, juste avant l'arrivée de papa Arsène. Et patatra. Il ne s'impose pas, est prêté au Havre, où ses 7 matchs sans buts ne font pas la diff', puis en Malaisie, c'est dire le ptentiel du gamin. Cela suffit à convaincre QPR, qui fait déjà preuve d'un sens du recrutement aiguisé... Il va quand même scorer 25 patates en 3 ans, puis fait le grand saut : le Danemark. On est en 2001, à Aalborg, il joue 4 matchs, ne marque pas, et enchaîne 2 essais non concluant dans le fond du panier Anglais. Rideau. Chris Kiwomya, vaut mieux pas.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://4.bp.blogspot.com/-A-oiMpmkKIQ/V3kogoBTX_I/AAAAAAAAJOA/GYg3MKM_K0A0knevUbEQwoIpI7rkdetngCLcB/s1600/Chris-Kiwomya-27-7-94.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="320" src="https://4.bp.blogspot.com/-A-oiMpmkKIQ/V3kogoBTX_I/AAAAAAAAJOA/GYg3MKM_K0A0knevUbEQwoIpI7rkdetngCLcB/s320/Chris-Kiwomya-27-7-94.jpg" width="213" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td class="tr-caption" style="font-size: 12.8px;">La puissance d'une gazelle, la robustesse du papier crepon,<br />
la gestuelle des Daft Punk.<br />
<div>
<br /></div>
</td></tr>
</tbody></table>
</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-18512665052558788852016-06-15T07:00:00.000+02:002018-05-31T20:37:46.454+02:00Ivan PEREZ MUNOZAujourd'hui, c'est de l'attaquant qu'on se farcit. Un Espagnol, qui fait ses classes chez le Real, qui connait toutes les selections de U16 à Espoirs, qui plante le but vainqueur de l'Euro Espoir 98' en finale. Un vrai bon ? Ben non... Car après sa formation, c'est la fin. Extremadura, Bordeaux, Betis, Depor, Numancia, Leganes et Girone. En tout 159 matchs en 13 ans, pour 19 malheureuses caouètes... Soit un ratio démentiel de 13 matchs par an, pour 1,5 buts. C'est le bilan d' Ivan Perez Munoz, frère d'<a href="http://vieuxfooteux.blogspot.fr/2012/05/alfonso-perez-munoz.html" target="_blank">Alfonso </a>, et donc membre la croqueuse Family.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://s.libertaddigital.com/fotos/noticias/alfonso-portada.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="697" data-original-width="800" height="278" src="https://s.libertaddigital.com/fotos/noticias/alfonso-portada.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Heu... Pardon, moi c'est le comptable hein...</td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-49789444471455705702016-06-13T13:00:00.001+02:002016-06-13T13:00:45.902+02:00ROGER Garcia JunyentAujourd'hui, lourd. Le mec est le dernier joueur de l'histoire de l'Ajax à porter le n°14 avant qu'il ne soit retiré. Il est aussi le seul joueur au monde à avoir scoré depuis son propre camp dans 3 matchs officiels ! Une méga star ? Une légende ? Et bien non. Il s'agit d'un footeux qui à le même nom qu'un chauffeur poids lourd des années 80, qui est régulièrement cité dans les pires milieux de l'histoire du Barça, qui a aussi pollué l'Espanyol, pour resté planqué dans sa ville, Villareal et l'Ajax, où ses 11 matchs prouvent qu'il a du se perdre en vélo dans les ruelles d'Amsterdam. Il s'appelle Roger et doit certainement avoir le tatouage d'un coeur transpercé d'une flèche avec écrit "Maman". Ou peut-être "foot", pour ne pas oublier...<br />
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<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://www.jugadorsfcbarcelona.cat/database//components/com_hotproperty/img/std/426_Garcia-Junyent-Roger-1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="http://www.jugadorsfcbarcelona.cat/database//components/com_hotproperty/img/std/426_Garcia-Junyent-Roger-1.jpg" height="320" width="220" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Oui. Au dos de ce maillot mythique était floqué ROGER.<br />#Grosmoustachudu26 <i>Like this</i><br /><br /></td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-12254063577061529522016-06-11T18:50:00.000+02:002016-06-11T18:50:20.371+02:00Emile MBOUH MBOUHAujourd'hui, on va retourner dans les années 80. Au Cameroun, une génération dorée va casser la baraque et faire vibrer des millions d'Africains. Mais tous n'ont pas connu les grands clubs et la gloire. Notre ami, milieu de terrain de formation, débute au Havre. Mais très vite, sa carrière ca prendre des grands airs de ballades touristiques. La normandie donc, puis la Suisse, le Portugal, le Quatar, L'Arabie Saoudite, la Malaisie, la Chine et Singapour. Vous l'avez compris, c'est avant tout l'amour du ballon et du beau jeu qui ont dicté ses choix. Il empochera quand même une CAN en 88', histoire de se rappeler aux bons souvenir du pays. Emile Mbouh Mbouh en train.<br />
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<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://img.fifa.com/mm/photo/worldfootball/nationalteams/02/10/59/76/2105976_full-lnd.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="http://img.fifa.com/mm/photo/worldfootball/nationalteams/02/10/59/76/2105976_full-lnd.jpg" height="179" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Un pt'it bout d'Emile.</td></tr>
</tbody></table>
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<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4056573318239781934.post-2923695530691711282016-06-10T18:39:00.000+02:002016-06-10T18:39:16.294+02:00Shiva Star N'ZIGOUAujourd'hui, on se penche sur du lourd. Le mec est Gabonnais, se fait remarquer dès ses 15 piges à Montaigu. Après une saison de feu en U15 à Angers, le voilà à Nantes en 98'. Il nous faudra attendre 2002 pour le voir enfin gambader sur les pelouses de L1. Avec son nom de DJ des bal musettes, il nous éblouit jusqu'au mercato 2005 où les Canaris le refourgue à Gueugnon, sans doute en lui faisant croire que c'est un nouveau maillot nanatais... Il evoluera ensuite 5 années durant à Reims, où c'est pas vraiment football champagne. L2, National, Luis Fernandez, tout y passe. Et notre compère reste planqué derrière le banc de touche pour garder son contrat. Sa tentative de relance dans les bas fonds Belges tourne au désastre. Le voilà reparti au Gabon, où c'est pas franchement la joie. Il arrète le massacre en 2013, et dit stop au professionalisme. Malgré ses 30 sélections et 8 filoches, on ne retient rien de Shiva Star N'zigou, si ce n'est un nom à faire pâlir Ibra.<br />
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<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="http://fcnantesa.free.fr/Images/fcna_n'zigou1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="http://fcnantesa.free.fr/Images/fcna_n'zigou1.jpg" height="320" width="239" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Shiva Star N'Zigoudis...</td></tr>
</tbody></table>
<br />Unknownnoreply@blogger.com2