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vendredi 31 août 2012

Gonzalo BELLOSO

Aujourd'hui, on finit la majestueuse triplette Strasbourgeoise des années 2000. Lui est un serial buteur, Argentin, et né à Rosario. Des débuts au Central, puis Lanus, Cobreloa et encore Lanus. Nous voilà 6 ans après ses débuts, et des stats qui prouvent les qualités du mec : 28 sacoches en 136 matchs. Soit 0,20 but / match. C'est là qu'intervient le club Alsacien. Bravo. Avec le Racing, c'est 28 matchs pour 4 pions. Triste. Prêté à Cruz Azul puis Lanus, où l'on commence à deviner une certaine affinité... Il quitte définitivement le club en 02' pour le Racing, Argentin cette fois. Suivront donc 6 clubs en 5 ans, avec des stats de défenseur remplaçant. Gonzalo Belloso, son seul quadruplé est d'O.

Visiblement, Gonz' se les gelaient sur la pelouse de la Meinau.
On lui avait pourtant loué le micro-climat Alsacien.

jeudi 30 août 2012

Mario HAAS

Aujourd'hui, Autrichien. Tout commence à Sturm Graz, en 92', pour cet attaquant natif de la ville. Le voilà qui claque 66 pions en 180 et quelques matchs. Assez pour que Strasbourg, en quête d'une équipe de poids pour épauler le grand Chilavert dans les bois. Le voilà tête de gondole de l'attaque Alsacienne, mais ça ne durera qu'une année. Le temps d'accepter l'échec du recrutement estival. Le poto de Garay se barre donc avec les autres ratés, et le voilà qui rentre chez lui. Un come-back à Graz flanqué de 39 pétards en 114 matchs. C'est toujours moyennasse, mais après 5 ans, le voilà qui rêve d'un grand club. 2005, banco ! Le voilà à Ichihara, avec le maillot de Jef United. Une année en J-league ponctuée de 11 buts. C'est donc un deuxième retour à Graz, où il continuera sur sa lancée de stats mollasses du bide. Mario Haas, pas mieux.

Mario Haas, Luigi trou de balle.
De foot.

mercredi 29 août 2012

Dejan PETKOVIC

Aujourd'hui, Yougos ! Un artiste milieu offensif qui débute en 88' dans sa province, avant de rejoindre les rangs de l'étoile rouge, en 92', juste après la saignée subit par le club Serbe suite à sa victoire en Champion's. Il arrive donc pour mener l'équipe, qu'il fera très bien 3 années durant. Puis le grand saut. Bonjour Madrid, son Real, ses stars, ses salaires, trop pour le meneur. 5 matchs, un prêt foireux à Seville, un autre dégueu à Santander, et le voilà à un tournant de sa carrière. Tenter un retour au pays ? Un club pourri d'un grand championnat ? Que nenni. Le voilà qui s'engage au Brésil ! Très rare à l'époque pour un européen (encore aujourd'hui d'ailleurs !), il débarque à Vitoria avec un certain Bebeto, en 97'. Après 2 ans de succès, celui qu'on surnomme Rambo tente Venise en A, mais foire. Rebelote le Brésil, où il connaîtra 8 clubs, des succès à volo, entrecoupé d'expériences cagadeuses à Shanghai ou Al-Ittihad. Clap de fin en 2011. Dejan Petkovic, c'est pas sa guerre.

Rambo bande de côté.

mardi 28 août 2012

Robby LANGERS

Aujourd'hui, on fait dans l'original. En effet, c'est un Luxembourgeois qui vient garnir les rangs bien remplis du site ! Ce n'est pas une ode à Tony Vairelles, mais un pietre souvenir pour un bon nombre de supporters français. Le canaillou commence pépère à l'Union Luxembourg, puis débarque à Gladbach, fraîchement décoré de l'UEFA cup'. C'est plutôt calme, comme en attestent ces 3 matchs en 2 ans... Arrive alors le FC Metz, qui se dit que le mec doit avoir de l'énergie. 6 ans de contrat, 8 matchs, 0 pions. et 3 prêts, à l'OM, Quimpers, puis Guingamp. En 88', le trublion s'engage à Orléans. Révélation ! 33 pétards en 40 matchs, c'est de la folie. Il s'engage à Nice dans la foulée, 2 années, 29 patates, assez pour passer de la promenade des anglais à la croisette. A Cannes, 2 miséreux pions auront raison de sa carrière Française, et il s'en fuit à Yverdon en 92'. Puis Carouge. Un bref passage en Allemagne puis un retour aux sources, a Dudelange puis l'Union, pour boucler la bouclette. Robby Langers, pas Baggio.

Un seul B, des barreaux en fond, un maillot rayé, les traits affinés par la faim.
Footeux ou bagnard ?

dimanche 26 août 2012

Per FRANDSEN

Aujourd'hui, on va dans le froid. Le grand nord, les vikings, les bourrins, bienvenue au Danemark. Après 2 ans à B1903, le rugueux milieu de terrain vient découvrir le nord Français à Lille. 4 ans de tacles pêchus, de pluie incessante, de fricadelles et de charbon. Tout ça pour un retour, en 94', en vol direct pour son pays enneigé, au FC Copenhague. En 96', son côté bûcheron attire les émissaires de premier league, et c'est Bolton qui rafle la mise. 3 belles années, puis une pige à Blackburn, puis un retour chez les Wanderers, 4 ans durant. Il se finira par 4 miséreux matchs à Wigan. A noter des sélections en Nationale, mais malheureusement pour lui, il joua les JO en 92', plutôt que le CEN... Per Frandsen, blague de blonde.

Son style "dur " le caractérisait.
Ici, il fait une passe en retrait...

samedi 25 août 2012

Joël CORMINBOEUF

Aujourd'hui, gardien. Suisse, il évolua quasiment toute sa carrière dans son plat pays, qui plus est dans un même club, Neuchâtel, hormis une moitié de saison à Zurich. Mais l'histoire a voulue que la saison 93-94 nous le porte en Alsace, pour que la D1 le découvre sous le maillot de Strasbourg. Il n'en mène pas large, et se rend compte du fossé entre la ligue Suisse quasi amateur et la first division Frenchy, ou joue alors le champion d'europe en titre sous la houlette d'un certain Nanard. Fin de saison, ventre mou, pour le club et le gardien, qui repart illico en Chuiche, dans son club, Neuchâtel. 6 ans après, il stoppera tout, à défaut de l'avoir fait dans ses bois. Joël Corminboeuf, bouse.

La niche du Boeuf.

jeudi 9 août 2012

Haim REVIVO

Aujourd'hui, exotique. Le coco est milieu offensif, voir attaquant, est plutôt coquin sur coup-franc et nous vient tout droit d'Israel. Des débuts clinquants à Yehuda, de 90' à 93', puis le grand saut à l'Hapoel. 1 seule saison, des beaux cartons, et un transfert illico au grand Maccabi. Après 2 saisons, le voilà qui s'en va découvrir la belle Espagne, du côté de Vigo. Avec le tsar Mostovoi, il dégome un max sous les couleurs du Celta, rate quelques matchs pour assister aux fêtes religieuses juives, et est adulé par le public. Après 4 ans de bons services, il s'engage en Turquie, au Fener'. Il ne lui faut que 2 saisons pour connaitre l'ascenseur populaire -qui c'est ce mec à la kippa ? / il est bon le bonhomme / c'est mon idole / casse toi pauv' con- allant en effet jusqu'à faire gerber les hooligans turcs lors de son passage au Galatasaray en 2002. Une grosse polémique pour 12 miséreux matchs, puis une fin en carton à Ashdod, au pays. Voilà donc résumées les aventures de Rabbi Revivo Jacob.

 
                                               Kamel Ouali is in the place.





PS : je suis toujours en vacances, mais c'est un p'tit plaisir d'août pour vous !