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lundi 30 avril 2012

Fabio ROCHEMBACK

Aujourd'hui, Brasilouche. Un mec qui porte un nom qui ne sonne pas auriverde, et encore moins joga bonito. Il fait ses débuts à l'Internacional, et découvre la grande Europe en 01'. Pas n'importe où, puisqu'il débarque en Catalogne, sous les couleurs Blaugrana. Il ne s'imposera jamais au Barça, traînant ses guenilles sur le banc et en tribunes la plupart du temps. Et quand le Barça s'est remis à gagner des titres, lui était prêté au Sporting. Il y jouera plutôt bien, mais pas assez pour convaincre les Espagnols, qui le vendent fissa à Middlesbrough. 3 saisons dans ce club mou, mais quand même une jolie preuve de poissard : il a perdu 2 finales de coupe de l'Uefa de suite avec 2 clubs différents. Joli. En 08, il se refait une pige au Sporting, avant 3 ans au Gremio, et un  bail exotique au Dalian Aerbin, en Chine, pour la magie des salons roses. Fabio Rochemback to the future.

Le fameux coup de la crêpe.
Joga Bonito Fabio !

dimanche 29 avril 2012

Frederic DEHU

Aujourd'hui, on sort les crampons. En ce dimanche pluvieux, on va parler d'un défenseur Français, adepte du tacle "à la carotide", des fautes "sous le manteau", des taquets "en loucedé". Vous l'aurez compris, un bon cogneur. Le mec débute milieu défensif chez les ch'tis Lensois, en 91'. Il va connaitre les joies du titre en 98', puis s'en ira en 99' au Barça. Bon nombre de journalistes, visiblement aveugles, lui prédise un bel avenir, et se plaisent à dire qu'il sera le premier Français à s'imposer en Catalogne. C'est sur le banc, voire derrière la buvette qu'il imposera sa patte, et s'en ira chercher bonheur à défaut de soleil dans la capitale Française. 4 ans de hauts (très peu), de bas (beaucoup), des entraîneurs qui s'enchaîne plus vite que des vendeurs chez McDo, une coupe de France, et il ne trouve rien de mieux que de signer chez l'ennemi sudiste en fin de contrat. Les supporters vont s'acharner comme des porcs sur lui, le faisant chialer comme une gonzesse. Il restera 2 ans à l'OM, le temps de ne rien gagner, et il file à Levante. La résiliation de son contrat suite aux affaires de pognon du club sera synonyme de fin de carrière. Fred Dehu, de Bas.

Grand Seigneur, il n'oubliait jamais les victimes de ses tacles "appuyés",
Il offrait des billets à la pelle.

samedi 28 avril 2012

Stéphane BIAKOLO

Aujourd'hui, tradition. Une bonne vieille tradition Française qui consiste pour un jeune talentueux aux dents longues de se barrer direct dans un gros club, avant même la fin de la formation, pour trouver fortune et gloire. Mais tous n'ont pas un destin à la Gladiator. Notre ami attaquant se casse donc de Montpellier à 18 piges, en 2000, pour  découvrir Milan en noir et bleu. Il n'y jouera jamais, sauf peut-être dans football manager, puis trouvera refuge au Sporting Charleroi. En 02', c'est l'appel des Chamois qui le pousse à signer à Niort. 17 caramels en 70 matchs, c'est assez pour découvrir le port du Havre, sa pluie, et son maillot bicolore. Mais ses 11 prestations miséreuses sans le moindre but l'envoie à Angers en 06'. C'est dans cette ville sans folie qu'il va doubler ses stats, passant de 0 à 1 but en 24 présences sur le pré. Il finira par Laval, puis le sud à Albi et Martigues. Vous l'aurez compris, il n'est pas un homme de stats. Stéphane Biakolo- nie de vacances.

De l'Inter au banc de Martigues.
Ya de quoi faire la gueule.
De plus, il n'a même pas retiré son survêt', c'est mauvais signe.

vendredi 27 avril 2012

"Biscotte" MBALA MBUTA

Aujourd'hui, un buteur venu du Congo. Il commence dans son club du quartier, mais signe rapidement à Motema Pemba, où il gagne rapidement des titres, et devient une star dans son pays. Surnommé Pieds de Jésus, c'est le grand saut, en 04', direction l'Hapoël. En Israël, ses 8 pions en 14 matchs le propulse directement dans le gratin du football Gruyère. C'est à Yverdon qu'il découvre la Super league en Chocolat. Super pour celui qu'on surnomme déjà (aussi) Biscotte. Une saison très convaincante. Alors le bingo ! Les Sauterelles de Zurich, puis retour à Yverdon, une grande saison à Al-ittihad, et le tour du p'tit dejeuner Suisse reprend, de Yverdon à Laucarno, Shaffshausen, puis Winterthur. Il a toujours eu un bon ratio, mais jamais une grande équipe... Biscotte M'BALA, Congolese Breakfast.

La biscotte au beurre face à la cracotte à la Fraise.








Merci à Kamel pour le Bonhomme, il vaut son pesant de Heudebert !!

jeudi 26 avril 2012

Come Back !

Retour dès demain !! Désolé !!

Comme l'était notre ami Edel, je suis désolé !

mardi 24 avril 2012

Paulo Sergio Cardoso da COSTA

Aujourd'hui, attention, ça pique ! Un milieu de terrain Portugais, formé dans le club-école du Sporting, Lourinhanense. En 99', il signe à Alverca, fait une bonne saison, et est acheté 50/50 par l'Inter (wouhouu !) et la Reggina (burp !). Il en est de même pour son compagnon Caneira, d'ailleurs. Zéro match à Milan, 25 à la  Reggina, c'est assez pour le refourgue direct à Porto. Il ne le sait pas encore, mais il a déjà commencé un road-trip infernal. Il va rester 3 ans sous contrat chez les Portistes, va connaitre de l'équipe B et être prêté 2 fois. Venise, pour les vaporettos, et Bordeaux, pour retrouver son pote de galère Caneira. C'est d'ailleurs les Girondins qui vont le signer, sans aucune raison. Du coup, c'est la même. La B et du prêt. En 06', direction Chypre, où il va bourlinguer comme un bourrin, histoire de picoler des verres d'Ouzo en s'enfilant de la moussaka. Fin en 2011, après 17 clubs en 12 ans de carrière. Paulo Costa Croisière.

Paulo Sergio Costa à la Reggina.
Série limitée des Lego Calcio 2000.

lundi 23 avril 2012

Victor KONWLO

Aujourd'hui, un milieu de terrain Libérien. Il ne veut pas devenir Président, ce n'est donc pas Weah. Il a joué un an à Yaoundé, puis a débarqué en France, du côté de la Bocca, en 92. A Cannes, il passer bien plus de temps à gambader sur la croisette qu'à jouer au foot. Un magnifique ratio de 6,5 matchs par saison, entrecoupé d'un prêt tout aussi pauvre à Nancy, puis le départ inéluctable en 97'. Direction la merveilleuse Eredivisie, et plus précisément l'AZ. Il est nul. Pas une surprise. Donc il s'en va, pour le Portugal. à Pacos de Ferreira, il est nul. Toujours pas de surprise. Après un passage dans le fond du panier Portuguais, à Caldas, et suite à son essai non concluant à Raith Rovers, il revient jouer en France, chez les amateurs, qu'il n'aurait peut être pas du quitter... Victor Konwlo, Liberian Fashion.

Pour trouver traces de Victor, il faut fouiller.
Vous vous contenterez de cette photo en noir et blanc.
Victor a le ballon, il va le perdre au plus vite.

dimanche 22 avril 2012

Jose DELFIM

Aujourd'hui, retour sur un mono-sélectionné. Le footeux est Portugais, milieu relayeur. Il est couvé par la Boavista de Porto, puis rejoint le Sporting Lisbonne en 98', où il s'impose comme rouage essentiel des vert et blanc. Mais en 01', le retour aux affaires de Nanard à l'Ohème va lui faire connaitre la fameuse expérience à l'étranger. Une bien belle expérience, 5 ans de contrat, 46 matchs joués, plusieurs opérations du dos, et des mois des blessures. Joli. Le président annonçait pourtant avoir son nouveau "Deschamps". Mais le vrai, Mr Tapie, ce sont les lèvres qu'il n'a pas, le dos, lui est bien place. Le relayeur ira taper le ballon en Suisse, puis reviendra dans son pays se gaver de morue et de pasteis de nata. Jose Delfim d'horreur.

Cela dit, s’empiffrer de Quick tout en portant une touffasse
pareille, c'est insupportable pour le dos.
Quand aux notes affichées sur cette carte...

samedi 21 avril 2012

Theodore WHITMORE

Aujourd'hui, buteur Jamaïcain. Meilleur scoreur de tous les temps de sa Sélection, c'est déjà un gage de réussite. Mais comme souvent, quand on parle de sélection de bas-niveau, on parle d'un mec qui connu une carrière en club bien dégueulasse. Après 3 clubs Rastafariens, il débarque dans ce qu'il pouvait espérer de mieux, la perfide. Hull city, qui s'embourbe dans les tréfonds, le signe, il joue 77 matchs, marque 9 buts, souvent sur malentendus. Et puis le drame, il se crash en caisse, quelques heures après un amical contre les Bulgares. Un de ses potos de la sélection y laisse sa peau.  Lui est blessé, mais s'en remettra, et sera acquitté malgré les lourdes charges qui pesaient sur lui. Retour au foot, en Jamaïque, puis un (très) court passage en Ecosse de 3 matchs, sans but, puis Tranmere Rovers, toujours plus bas dans la loose Anglaise, et une fin pépère à l'ombre des palmiers Jamaïcains, et de sa pelouse bien verte... Theodore Whitmore or less.

Haut les mains, peau de lapin,
Théodore en maillot de bain.




Merci aux "anonymes" qui laisse des commentaires et des propositions !

vendredi 20 avril 2012

Bernard DIOMEDE

Aujourd'hui, ailier gauche. Notre homme est Français, et nous vient tout droit de la Jeunesse Auxerroise, où il est formé, où il explose et où il gagne ses galons d'International. Parce que oui, ce jouor (copyright Luis Fernandez) n'a connu que 8 sélections, mais pas n'importe lesquelles. Les plus précieuses du foot Français, puisqu'il est champion du monde. Burp. Il en profite pour signer dans la foulée au Liverpool de Houllier. Tout un programme : 2 ans, 4 matchs, 0 buts. Mais il ne faut pas se voiler la face, sa carrière est déjà derrière lui. Suivra Ajaccio, Créteil et Clermont entre 2002 et 2006. Tristounet, surtout quand on lit le wiki du mec, et la rubrique anecdote : "Je n'ai aucun lien avec les îles Diomêde", décla sur Téléfoot en 97' ! Époustouflant. Puis : "Lorsque les girafes joueront au foot, j'aurais du mal à marquer de la tête". Scotchant. Bernard Diomede, pas un remède.

Un oeuf d'autruche encore dans le nid.
Et son protecteur.


jeudi 19 avril 2012

Milinko PANTIC

Aujourd'hui, su Serbe. Milieu de terrain, il sort du Partizan en 85'. Un vrai Brésilien Européen, il s'exprime bien dans son club mais il fuit comme beaucoup d'autres sont pays et ses atrocités pour aller taquiner le cuir a Ljubjana. A peine 14 matchs, et hop ! C'est Panionios qui le récupère. Il joue juste à Athènes, marque, et tape dans l'oeil myope de la cellule de l'Atletico Madrid. 107 matchs en 3 ans, 18 buts (3 fois moins qu'en Grèce), et le coup d'éclat. Bonjour pluie, plages grises et morosité au HAC. On est en 98', il va jouer 19 matchs, et dégage direct à son port favori. Retour donc à Athènes, pour se finir en 2001. Milinko Pantic, potiche.

Totalement articulé, il crie "gooooool" et lève la main !
Le Pantin Pantic, de Bandaï !
Livré sans piles et sans buts.

mercredi 18 avril 2012

Mauro MILANESE

Aujourd'hui, Rital. Défenseur central ou gauche, il a pilonné un nombre incalculable de tibias. Formé à la Triestina, il fait ses classes dans les bas-fonds Italiens et après un court passage à la Cremonese, il s'engage au Toro. Puis Napoli, puis Parme, Puis l'Inter. Sans doute fatigué par les cartons et les déménagements tous les 7-8 mois, il décide en 99 de rester 4 ans à Perugia. Un miracle. puis une année à Ancona. Puis le retour à Perugia. Chassez le naturel, il revient au galop. En 2005, la magie des Queens Park Rangers lui font connaitre le rêve d'une expérience à l'étranger. Il reviendra en 07' en Italie, à Salerne puis Varese, juste une année dans chaque, faut pas déconner. Mauro Milanese, Blaise !

Je ne sais pas quoi penser de la mèche.
Ni de la gomina.
Le grand frisson.









J'en profite pour rendre hommage à Piermario Morosini, et tous ces joueurs tombés sur le pré. RIP

mardi 17 avril 2012

Trevor STEVEN

Aujourd'hui, direction l'île de sa majesté. Né dans le berceau du foot, l'ailier commence à taquiner la balle du côté de Burnley. 3 années, puis le départ pour Everton. de 83' à 89', il va devenir un taulier du club, le pourvoyeur officiel de ballons pour les attaquants, répondant au fidèle Kick&Rush cher aux Englishs. Après ces 6 belles années, quelques trophées, et des sélections, il va monnayer son talent aux Rangers. 2 ans, et pan ! Le coup de tonnerre : Surfant au pic de la vague Magic Chris Waddle, l'OM le signe en 91'. Mais visiblement, tous les buveurs de guinness ne sont pas aussi fou et talentueux que le blond à la coupe aux rideaux. Notre friend fait une saison sans relief, et tout le monde l'oublie. Retour aux Rangers, le bougre est sans doute plus doué quand la pluie lui tombe dessus... Il mettra un terme à tout ça en 97'. Trevor Steven, binch éventée.

Alors ?
Le vent de Glasgow ou le Brush de Trevor ?



lundi 16 avril 2012

Marian PAHARS

Aujourd'hui, on va se faire de l'exotique. Un buteur qui vient du grand froid, d'un pays où le foot est pas vraiment la passion du peuple. Notre homme vient de Lettonie, bien qu'il soit né en Ukraine. Il était monstrueux dans le jeu vidéo Red Card Soccer sur PS2, avis aux amateurs. Il traine dans 3 clubs Lettons, dont le Skonto Riga, le grand du pays, jusqu'en 98'. Une bien belle saison lui ouvre les portes de plusieurs essais. Le Werder, la Salernitana, Salzbourg, mais c'est finalement Southampton qui le signe. Dans le port Anglais, l'ami du nord se fait surnommé le Michael Owen Letton. Mouai. 7 ans, 137 matchs, 43 buts, c'est un ratio de 0.31 but/match, c'est pas non plus une bête de réalisme... En 2006, fin de l'idylle, départ pour Famagouste, une année, 19 matchs, 4 caramels. Retour à Riga. Marians Pahars, Letton en dessous.

Marians est à l'origine des charters Anglais pour la Lettonie,
spécialité des enterrements de vie de garçons.
Un bel héritage.

dimanche 15 avril 2012

Luciano De Souza

Aujourd'hui, milieu offensif Brésilien. On pense de suite à certains de ses compatriotes illustres prédécesseurs, tel Rivaldo, Ronnie... Mais rien de tout ça. Peut-être le goût pour la fête... Quoi qu'il en soit, le bonhomme décide dès les prémices de sa carrière pro qu'il va bourlinguer un max. Donc 4 clubs formateurs, des débuts timides à Santos, et hop, direction la Grèce, à 23 ans, en 95. Il va écumer pas moins de 12 clubs Grecs, Chypriotes et Crétois différents entre 95' et 2011. Entrecoupé d'une pige au Portugal sans jouer. Il connaîtra l'Olympiakos, mais surtout des clubs de secondes zones, mais visiblement, il s'en cague. Luciano de Souza, appollon.

Enrobé avec petit anneau à l'oreille.
Le parfait Grec-frites.

samedi 14 avril 2012

Zoran JOVICIC

Aujourd'hui, attaquant Serbe. Malheureusement pas le meilleur de sa génération, il est formé à l'Etoile Rouge. 2 prêts pour s'affirmer, mais la mayonnaise ne prend pas. Il se barre en Grèce, pendant que ses potes sont engagés par les plus grands clubs Européens suite à leur victoire en C1. Trop con. Ce sera donc l'Ethnikos Astreas, où il connait la montée, mais rien de transcendant. 95', welcome back à Belgrade, 3 saisons assez réussies, 2 sélections Serbes, 1 pion. Et paf, le bonheur : la Samp' le signe en 98'. Bingo se dit-il, c'est la chance de voir le mondial Français de l'intérieur. Après une saison sans jouer, il verra les siens sortir en 8emes derrière sa téloche. En B avec la Samp', il joue 33 matchs... en 5 ans. Nul. Direction Caen, qui mise pas mal sur le Yougos en ces années 2000. 2 saisons, 30 matchs, 1 but, le jardinier aurait pu faire mieux. Il se finira en 05' en Grèce, à Panionios, sans marquer, évidemment. Zoran Jovicic, ou pas chiche ?

Comme lui, la Dreamcast fut géniale mais incomprise.

vendredi 13 avril 2012

Alvaro RECOBA

Aujourd'hui, une des plus grandes énigmes du football des années 2000. Un Uruguayen aux yeux de chinois et joufflue, formé au Danubio, révélé au Nacional et acheté en 97' par l'Inter. Milieu offensif, Ailier, Attaquant, il s'en tamponne un peu, il se marre, marque peu, est un temps le joueur le mieux payé au monde, n'est jamais vraiment décisif, mais reste 11 ans sous contrat à Milan, incarnant plus que tout une équipe incapable de gagner. Une sacrée prouesse. Quasi 70 sélections avec l'Albiceleste, rien de marquant. Il tentera Panionos sans réussite après l'Inter, c'est dire. Puis retour dans son Uruguay, pour se finir peinard. On retient plus de lui ses sourires sous son gros bonnet et ses couettes sur le banc de l'Inter que ses coups d'éclats footballistiques, malgré une belle précision de coup-francs... Alvaro Recoba, El chino sans baguettes.

Tout s'explique : Alvaro jouait les yeux fermés.
Le con.



jeudi 12 avril 2012

Francesco BAIANO

Aujourd'hui, buteur Napolitain. Formé dans son club, il caresse l'espoir de jouer côte à côte avec un certain Diego. Mais la magie n'opère pas, et il est prêté de clubs en clubs, 4 fois en 5 ans. Il s'engage définitivement à Foggia en B en 90', bien décidé à prouvé sa valeur. Bingo, il est dans l'équipe d'un certain Zdenek Zeman, et ses coéquipiers du front que sont Signori et autre Rambaudi font claquer la série B. Notre poulain est cappocanoniere, puis enchaine une bonne saison en A. Suivront 5 ans à la Fio, à la botte de Batigol, puis Derby County, certainement pour arborer un maillot avec un mouflon sur l'écusson, puis d'obscures clubs Italiens. Francesco Baiano, n'est pas César qui veut.

Le 1er sticker Panini à regrouper 4 animaux sur une seule image.
Un Mouflon, un Puma et un Lion.
Et un manchot.
Chapeau Baiano !

mercredi 11 avril 2012

Michalis KAPSIS

Aujourd'hui, pieds carrés Grecs. Ce rugueux défenseur (comprenez bourrin) traîne dans quelques clubs Grecs tout en se rapprochant de la capitale. Bien lui en a pris car c'est à l'AEK Athènes, en pleine déconfiture qu'il s'engage en 99'. 111 matchs en 5 ans, il est sélectionné par la Nationale, et il va connaitre l'exploit, l'apothéose de sa carrière en 04'. On est à l'Euro, les Portos sont chez eux, archi-favoris, mais la Grèce n'en a que faire. Elle sort la France, les Tchèques et affronte donc le pays hôte en finale. Comme lors des autres tours à élimination directe, les Hellènes volent le matchs aux garçons : ils marquent un pion dégueu, défendent comme des boeufs, et raflent la mise. Notre ami soulève un trophée qu'il n'aurait jamais dû approché, et signe dans la foulée aux Girondins, pour le vin. Une saison plus raisin que figue et retour sur ses terres, à l'Olympiakos. Il passe plus de temps à pêcher au port du Pirée qu'à jouer. Départ à l'Apoel, minable, puis Levadiakos, pour finalement revenir à son club formateur. Michalis Kapsis saucisse.

Vous connaissez l'expression...






Je m'excuse pour le retard, entre nouveau boulot et retour de vacances, j'ai été pas mal occupé...
Encore MERCI à tous ceux qui me suivent !

dimanche 8 avril 2012

Massimo MARAZZINA

Aujourd'hui, attaquant Italien. Il a joué toute sa carrière dans sa botte natale, et il a la particularité des plus grandes buses : un max de clubs, et dès que son port d'attache est un peu trop renommé, c'est la vautrade en beauté. Formé à l'Inter, il se barre très vite à Foggia, puis 4 ans au Chievo. 120 matchs, 29 buts. Puis la Reggina, puis retour à Verone. On est en 2003, et un grand club se présente : la Roma. Aucun pion en 7 matchs. La Samp ? 12 matchs, autant de néant. Modena pour se relancer ? Nul. 1 an au Toro, 41 matchs, 16 caramels. Puis Sienne où les seuls filets qu'il voit bouger sont à la télé. Il finira sur 4 ans à Bologne, entre spaghettis et sauce tomate. Massimo Marazzina -dapté.

Le défenseur se tord de rire, Massimo a déglingué un pigeon.



samedi 7 avril 2012

Seyni N'DIAYE

Aujourd'hui, un buteur d'exception. Sur une magnifique proposition, dont je remercie le mystérieux auteur, je vous remémore ou fait découvrir ce Français, passé par le centre du Psg, Exilé 1 année à Neuchatel, il débarque au SM Caen en 99', bien décidé à enquiller les buts, les bouteilles de cidre et les tripes à la mode d'où vous savez. C'est donc tout naturellement qu'il tombe dans un véritable trou normand, jouant 37 matchs en 1 an et demi et scorant misérables 4 buts. Départ pour les bas fonds anglais, 3-4 buts à droite à gauche, des guérisseurs mystiques, des blessure fantômes, des aller - retour en France, et le voila qui file en Ecosse. 6 mois. Une très belle année au chômage, puis rebelotte la galère du taf, obligé de signer à Chypre, poubelle footballistique bien connue en Europe. Mais il n'a pas le niveau, et enchaîne des clubs minables de Limassol à  Nicosie en passant par Salamina. Il tente un retour en 2008 à Ste genevieve des bois, dans le 91, mais il n'est pas retenu. N'Diaye Seyni -sérable.

Lequel est le meilleur des 2 ?
Envoyez "PiedsCarrés" au 81616.
96 € le sms.
 

lundi 2 avril 2012

Roberto MUZZI

Aujourd'hui, buteur a l'Italienne. Entre la visite de la fameuse tour de Pise et le centre d'entrainement des neroazzuro, je vous poste un p'tit article sur un des buteurs de l'histoire de Pisa Cacio. Pas un foudre de guerre. Le bonhomme commence à la Roma, où il fait figure de très bon espoir du foot Romain et Italien. Mais il ne confirme pas chez les pros, et atterit à Pise en 1994. Une saison à 8 pions et voilà le gai luron expédié si-sec chez les Sardes de Cagliari. 4 saisons, 144 matchs, 58 caramels. Merci. Direction Udine, 102 matchs, 38 pions. Assez pour trahir sa patrie et signer à la Lazio. 2 ans, 39 matchs et 4 buts, c'est bien dégueu, et c'est sans passer par la case départ qu'i file au Toro. 2 ans, puis une fin sans gloire à Padova en 2008. Roberto Muzzi-zi Flop.

Une offrande à Dieu.
L'Italien est très croyant.