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mardi 30 avril 2013

Bruce IKANGO

Aujourd'hui, un Français. D'origine Congolaise, il se forme à Cannes, au poste d'attaquant penchant à droite. Après 3 ans, en 2003, ne voyant pas en lui la futur star interplanétaire qui fera monter l'AS Cannes, il est refourgué à Xamax. Une belle saison blanche plus tard, il joue a Angers, puis au RCF Paris en prêt. On est en 2006, et à 22 ans et après 4 clubs, on est toujours loin d'entrevoir une belle carrière. Suivront ensuite Poitiers, Cherbourg et le Red Star. 2010 marque le tournant : il quitte la France, et rejoint Gillingham, en 3eme div' Anglaise. Bon, 5 matchs, pas un pion, et il dégage, et le voilà qui joue pour un club Albanais ! La meilleur saison de sa carrière en plus ! Ce qui lui ouvre la voie royale de l'Otelul Galati. Mais pour 6 petits mois, étant "coupé" en janvier. Pour mieux rebondir aux Cherno More. Bruce Ikango go danceur.

Un mythe s’effondre...

jeudi 25 avril 2013

Jeremiah WHITE

Aujourd'hui, on poursuit sur le thème cher à la famille Vairelles : Gueugnon. Car le mec du jour, ailier droit Ricain, qui a fait ses classes dans son pays natal, se voit ouvrir les portes du foot européen par le club de l'OFK Belgrade. Bon. Aucune apparition pour  le club. Il file alors à Panserraikos, en Grèce, à 21 ans. Ça sent déjà pas super bon. Après 8 malheureux matchs, c'est le moment que choisi Gueugnon pour entrer en scène et signer le jeune loup. 2 années en Bourgogne, 25 apparitions et 7 pralines plus tard, il est temps d'aller brouter l'herbe ailleurs. Le voilà au Danemark, pour 2 ans. Il suit son bonhomme de chemin en 2010 en signant à Ettifaq en Arabie Saoudite, pays mondialement reconnu pour aimer les ricains à la folie. 12 matchs seront nécessaires pour accepter de bouger, et d'immigrer en Pologne. A Belchatow. 3 matchs. Ouch. Puis un contrat de 3 mois en MLS. N'oublions pas sa mono sélection Américaine. Jeremiah White, noir c'est noir.

J. White est black.
Et visiblement, les Polonais de Belchatow n'ont pas prévu le coup...

mercredi 24 avril 2013

Fritz EMERAN

Aujourd'hui, c'est un défenseur né en Guadeloupe, International Rwandais à 6 reprises, qui nous intéresse. On voit déjà la patte de l'imposture. Formé entre Monaco et Rennes, 2 Centres de formation réputés, il galère malgré tout et après des débuts semi-pro à St Leu, le voilà qui débarque à Malines en 99'. Une saison, puis il rejoint Genk, on pense alors que sa carrière est bien lancée. Raté. Suivront Sittard pendant 2 ans, et le grand saut : Gueugnon. 2 ans chez les Jaune et bleu, puis retour en Belgique, entre Brussels et Louvière. Il joue a chaque fois assez régulièrement, délivre des crampons dans les tendons et des genous dans les hanches adverses, en filou. Il se décidera à rejoindre la Grèce en 06', entre tripolis et Levadiakos, avant de boucler la boucle à St leu. Puis finalement revenir à St Gratien, en banlieue Parisienne. Fritz Emeran, parce qu'en Belgique y'en à plein...

L'abus de Fritz-mayo est dangereux pour la santé.

lundi 22 avril 2013

Nicolas DIEZ

Aujourd'hui, égayons notre journée avec un ailier Argentin. Débuts pro aux Argentinos Junior, il pend la direction du Racing club en 96'. Il y reste 5 ans, joue à peine 25 matchs, est prêté un an à Ferro Carril, et débarque, en 2001, à Gueugnon. Faut dire que le mec à empoché en 97' la coupe du monde des jeunes. Le voilà donc chez les forgerons, tout récent vainqueur de la coupe de la ligue. 2 ans en Bourgogne, une trentaine de matchs, 1 but, aucune influence, vol low-cost pour la D2 Colombienne. En 2004, malgré tous ces errements, il signe a Everton. Pas en Angleterre hein, en Argentine. Suivrons des clubs Argentins, Venezueliens et Chiliens. Nicolas Diez, pas dans le onze.

Les ravages du Crystal...

vendredi 19 avril 2013

Awudu ISSAKA

Aujourd'hui, on jette notre regard vicieux sur une ex-futur perle du ballon rond. Le mec est Ghanéen, et il évolue à ce fameux poste de numéro 10, le "playmaker". Comme tout espoir Africain qui se respecte, il file très tôt en Europe, rejoint Anderlecht en 95', alors à peine âgé de 16 ans. Et ce grâce un titre de champion du monde des U-17. De la réserve Belge, il va filer à la réserve Bourguignonne en 96', où l'ami Guy voit en lui un futur crack. Bon, 2 années après sont arrivée, force est de constater que le jeunot n'a pas fait un match en pro et est aux abonné absents. Qu'a cela ne tienne, il va découvrir son 3ème pays européen, à Munich. Au 1860. 99', après un an de réserve, il fait enfin son premier match pro. Lancé, se dit-on. Pas vraiment... Il ne regoûtera plus jamais aux joies du professionnalisme Européen et finira sa carrière d'imposteur dans différents clubs Ghanéen. Notez qu'aujourd'hui, il évolué au Marcel Dessailly FC. Un hasard ? Awudu Issaka, ilaka être bon.

Même le papier n'en veut plus...

mercredi 17 avril 2013

Dorde TOMIC

Aujourd'hui, c'est un milieu Serbe qui nous fait rêver. Formé au Partizan, il découvre le haut niveau à Kula en Serbie avant d'immigrer en 94' en France. C'est dans la Bretagne pluvieuse de Guingamp que notre ami ne fera que 12 malheureuses apparitions. Avant qu'un club Espagnol ne le fasse signer. L'Atletico Madrid. Mais hormis coudre des matelas a plein temps, on ne comprend pas trop l'intérêt de son passage a Madrid. Les dirigeants non plus d'ailleurs, puisqu'au bout de trois matchs, il l'envoie croupir en réserve. Un retour au Partizan en 98', puis pour le passage dans le nouveau millénaire, il s'engage pour Oviedo. 3 saisons mi-putes mi-soumises et le voilà à Incheon, en Corée, pour un championnat plus en adéquation avec son niveau. A noter sa mono sélection Serbe. Dorde Tomic de pain.

Le pendant Serbe de Sochaux.

mardi 16 avril 2013

Samba N'DIAYE

Aujourd'hui, on va se pencher sur un buteur. Le genre de buteur qui nous fait péter un plomb devant notre télé, et qui nous fait gueuler que l'on est pas plus mauvais que lui. Ce mec, né à Dakar, se forme à Anderlecht avant de filer à Metz, puis Beauvais, où il découvre les matchs des "grands". On est en 91', 1 saison suffira à l'envoyer à Lille, puis Metz de nouveau, pendant 3 ans. 64 matchs, 3 buts, c'est assez pour le dégager fissa. Il échoue à Sainté, fait la meilleure saison de sa carrière, 19 pions sur 41 présences. Il file à Nantes, retombe dans ses travers, revient chez les verts, est encore plus nul, alors il retourne à Nantes. Ces aller retour sur 2 ans lui permettent de scorer la bagatelle de 0 but. Joli coup ! Il va ensuite trainer son spleen de Amiens à Ajaccio en passant par les chamois de Niort. Un bref passage à Al-Nasr, puis fin de la blague. Samba N'diaye, c'est pas le carnaval.

Il fut un temps, Nantes était un grand de France.
Et recrutait des types qui allait causer sa perte.

samedi 6 avril 2013

C'est la Galère !

Un p'tit mot pour vous, les millions de fans du blog. Voir dizaines de millions. Je file en séminaire toute la semaine prochaine et ça va être dur dur d'accoucher de footeux.

Je ferai de mon mieux. En attendant, vous avez tout le loisir de vous refarcir les quelques 590 mecs du site.
Et les ré-écrire. A l'envers. En latin.

Et si vous en avez pas encore assez, et bien envoyez des messages, des mails, gueulez, faites des manifs, écrivez au Président. Et ayez toujours un coin de l'oeil sur un footeux aux piètres performances... ;)


Et n'oubliez pas de pisser dans un flacon,
c'est pour le doping !

vendredi 5 avril 2013

Adrian MIHALCEA

Aujourd'hui, c'est du costaud. On fait dans le Roumain. Il n'est pas question de métro ou de jeunes mineures, mais bien d'un buteur formé sur ses terres. Il tape très vite à la porte d'un des grands du pays, le Dinamo Bucarest. 68 pétards en 164 matchs, le tout en 5 ans. Très connu pour ses prouesses sur Football manager, il s'engage en 2001 au Genoa. 2 ans, 41 matchs, 11 tristes filoches. On est loin des stats du jeu... Rien de mieux au Hellas Verone, avant un retour au Dinamo. Son retour aux sources est mauvais, il faut donc trouver une solution de replie. Ce sera la Corée. Burp. Après un bref passage à Vaslui, il enfile le maillot de Limassol, en 06'. l'Aris. Puis l'Apoel. Puis l'Aris. Puis l'énième retour dans son pays, dans différents clubs aussi imprononçables que mauvais. Pour parachever le tout, 16 capes Internationales, 0 pion. Adrian Mihalcea pas vraiment de talent...

Et il ose nous pondre une autobiographie.

jeudi 4 avril 2013

Fabijan KOMLJENOVIC

Aujourd'hui, milieu Serbe. Elevé dans le centre du Dinamo Zagreb, il ne perce jamais dans son club formateur, à la vue de sa dizaine de matchs jusqu'en 90'. Il dégage à Rijeka, où les supporters lui refile le surnom de "Caniggia de Kantrida". Bon. En 93', il tente le coup en Bundesliga, à Shalke. 2 matchs. On en dira pas plus. Il retourne dans sa contrée, et tente la Belgique en 95', à Genk. 32 matchs et 14 pions ! Assez pour décrocher un contrat à... Zagreb. Il retournera dans un sombre club Belge en 97', mais le charme n'opère plus. Après 2-3 clubs Croates, il se finira en nouilles party à Pohang. Fabijan Komljenovic, sans gêne.

Ne soyez pas gêné pour lui,
il assume totalement.

mercredi 3 avril 2013

Giorgi DEMETRADZE

Aujourd'hui, sur proposition, nous voilà devant un Soviete. Le mec, né en Géorgie, est formé dans sa contrée avant de débarquer au Dinamo Tbilisi, l'un des grands du pays, en 94'. Buteur généreux, il va planter 51 pruneaux en 67 matchs ! A 21 ans, le grand saut. Quand des clubs Néerlandais tel le PSV pari sur des jeunes Brésiliens comme Ronaldo, le Feyenoord ose le Géorgien. 8 matchs pour aucun but. C'est donc avec des nausées qu'ils refourguent le bébé à l'Alania Vladikavkaz. Et le cochon se remet à scorer comme un fou-fou. Il file alors au Dinamo, de Kiev cette fois, puis, signe, en 2001, à la Sociedad. Encore raté. Les grands championnats ne sont pas pour lui. La suite de sa carrière sera une succession de clubs tel le Lokomotiv, Vladikavkaz, Dontesk, Tel Aviv, Arsenal de Kiev et même Baku. Avec des stats à faire chouiner ses partenaires. Giorgi Demetradze, en Géorgien c'est cadeau : გიორგი დემეტრაძე.


La foule ne s'y est pas trompée...






Merci à toi San Ku Kai !! 



mardi 2 avril 2013

Nebojsa VUCICEVIC

Aujourd'hui, un Yougos. Formé à l'OFK Bekgrade, ce brésilien de l'Est, passe ensuite à l’échelon supérieur au Partizan. 5 ans, de 84' à 89', puis le départ pour l'étranger. Ce sera dans notre bon pays, en Lorraine, à Metz. Une saison merdique, où son rôle de milieu offensif ne séduit pas, et où ses moments décisifs se compte sur les doigts de la main d'un lépreux. Exit les grenats, et bonjour le soleil Espagnol à Salamanque. Encore pire. 8 petits matchs et puis s'en retourne à l'OFK. 91', la guerre se pointe, lui se barre, et pas n'importe ou. Non, le mec se tire en Corée, avant un passage à Chypre, puis en Slovénie. Il se finira en foot indoor aux States. Et depuis 2002, il est coach. Le bilan ? 14 clubs managés en 12 ans, dont du Ghanéen. Nebojsa Vucicevic à droite à gauche.

"Alors tu vois, j'avais l'arbitre en joue, avec mon
Ak-47, et quand il a sortit le carton rouge..."