Si t'aimes, Tu clics !


mardi 22 juillet 2014

Gabriel BATISTUTA

Aujourd'hui, c'est particulier. Entre tous ces bras cassés, ces estropiés du foot, javais envie de rendre hommage à un grand. Pour se rappeler qu'au milieu de se marasme de stats déprimantes, de défenseurs en carton et de gardiens peaux de pêche, il existe des très grands, qui rendent le foot facile, clinquant et mythique. Notre boulimique du but est un artiste du foot qui m'a émerveillé, et m'a ouvert les yeux sur la formation Argentine, la rigueur Italienne, et la classe sur un terrain. Formé aux Newell's, comme un certain Leo Messi, et Heinze, Balbo ou encore Samuel. Poli à River. Façonné à Boca.  En 91', il signe en Italie, à la Fiorentina. Il va péter 207 caouètes en 332 matchs, et rendre le maillot violet "nintendo" mythique. En 2000, il signe à la Roma, pour essayer de décrocher le titre. Bingo, sous Fabio Capello, il flingue à tout va, et soulève le trophée. Et rend le maillot romain kappa mythique. Après un passage vite fait à l'Inter, il va ouvrir un LDD au Quatar. Mais l'essentiel est ailleurs. Il a éclaboussé la serie A de sa classe, de sa grinta, et de son sens du but. Et l'Argentine, avec qui il marquera 56 fois en 78 sélections. Meilleur scoreur de tous les temps.
Merci, Gabriel Batistuta, pour m'avoir ouvert les yeux.  

2 maillots, même classe.

dimanche 20 juillet 2014

RUBENILSON Monteiro Ferreira

Aujourd'hui, sur une superbe proposition, on se farcit un buteur. Formé au Flamengo cher à Adriano, il file très vite sur le continent où le pognon coule à flots. Il débute pro au Standard de Liège entre gaufres et bouchons. Après 27 matchs en 3 ans, et le chiffre tonitruant de 1 but, il est expédié à Molenbeek. On est en 92', il a 20 ans, et le voilà face à son destin : scorer ou finir rmiste. Il s'en sort pas trop mal, est même convoqué chez les espoirs Belges grâce à son mariage, et décroche un beau contrat à Antwerp en 94'. 35 matchs et 5 buts plus tard, les Niçois, pas avares en transferts foireux se jette sur le bonhomme. C'est la consécration : 9 matchs, aucun but. Le voilà grillé en Europe. Pas grave, il prend l'avion pour la Corée du Sud, ne marque que 4 pions en 29 matchs, et 3 ans après, regagne le vieux continent via l'Israel, l'Espagne, la Roumanie et une fin en fond de Belgique. Nous tairons ses stats, par amour du foot... Rubenilson mais il a pas décroché.

Après les matchs, c'est lambada !





Merci à toi l'anonyme, pour ton commentaire et ta belle proposition !

jeudi 17 juillet 2014

Giovanni BIA

Aujourd'hui, on se penche sur un défenseur a la Dolce Vita. En effet, il vient s'ajouter à la longue liste des joueurs qui font une belle sans carrière grâce à un bon agent, à défaut d'un d'un bon talent... Bref, notre homme est formé à Parme, début à Pérouse et confirme à Cosenza qu'il n'est pas mauvais. On est en 93', l'OM à gagné le Milan en finale de Champion's mais a acheté son titre Français à Valenciennes. Et durant ces temps obscures, notre ami signe un contrat au Napoli. En 94', le voilà qui signe à l'Inter, durant un mercato qui verra des signatures de joueurs à la pelle du côté Nerazzuri. En 95', il débarque à Udine, puis Brescia et Bologne. Saison, 2001, le voilà qui traverse les Alpes pour se perdre à l'ASSE, en ligue 2. Il ira se finir un an plus tard à la Reggina, pour les pizzas sans doute. Pour remercier son agent, qui lui a quand même décroché une bonne dizaine de contrats dans sa carrière, il deviendra lui même agent de joueurs, Cigarini, Dessena ou encore Macheda lui ont confié leur destin. Giovanni Bia, joueur malgré lui.
Pas la même de signer à l'INTER ou à Sainté...




mercredi 16 juillet 2014

Richard Joseph "RICHIE" PARTRIDGE

Aujourd'hui, un milieu de poche. Irlandais, il est formé chez les Reds. A Liverpool, on croit en lui, on le forme et le prête a 2 reprises. Bristol, puis Coventry accueil le jeune, et il se fait remarquer en finissant meilleur jouer de son équipe en 2003. Il revient au bord de la Mersey gonflé à block. Mais en 2 ans, il ne goûte pas une seule fois à la premier league. Blessures, quand tu nous tiens. Sa carrière ne sera plus qu'une longue descente dans les divisions, les championnats, le calvaire. Malgré le fait qu'il soit le beauf' de Michael Owen, pas de cadeau. Il va enchaîner 8 clubs en 8 ans, des bas fonds Anglais aux tréfonds Gallois. Il a connu la sélection en -17 et -18. Et la convocation, sans jouer, du maillot national Irlandais. Bref, y'a que dans FM que Richie Partridge à connu la gloire.

Flotteur Boy



samedi 5 juillet 2014

Adrianho Vicardinho Chinese dit "ADRI"

Aujourd'hui, un buteur. Formé dans le 5eme arrondissement de Lyon comme un certain Umtiti, il confirme très vite dans les catégories jeunes. Il dezingue les filoches à tour de bras, et dézingues les gonzesses lors des soirées. Après deux belles années dans une équipe des Sporting Gones abonnée aux défaites, il signe un contrat en Estonie. Cet exil lui permet de découvrir les us et coutumes de la froide Estonie externe, mais muy caliente dans ses bars. Après un an, le voilà qui se lance un nouveau défi : la Chine et son milliard d'habitants seront à ses pieds. C'est à Shanghaï qu'il enfile les pions, avec son maillot orange sur le dos. Après plusieurs années, c'est un homme apaisé fait son retour aux Sporting Gones, avant de filer à Paris, pour de nouvelles aventures. Et aujourd'hui, c'est un péno qu'il doit frapper. Et a n'en point douter, c'est en force, sous la barre, qu'il va le transformer ;)

Un entrainement de plus...

mercredi 2 juillet 2014

Tony WARNER

Aujourd'hui, on reste chez les gardiens. Né et formé à Liverpool, notre ami choisira le pays de ses parents, Trinité et Tobago. Pour 2 sélections. Ce qui laisse déjà rêveur sur le niveau. Pro, en 94, il sera prêté 3 fois, mais ne s'imposera jamais chez les Reds. le voilà qui walk alone à Millwall, en 99', où il restera 5 ans et 200 matchs. En 2004, à 30 ans, il file à Cardiff, sera prêté à Fulham, puis dégage à Leeds. Sa carrière se résume déjà à des prêts à gogo, sur de très courtes durées, comme les aime les Brittons. En 2014, à 40 balais, il stop le tout, après avoir connu 20 contrats différents, et un passage à Malte et en Australie. Tony Warner, c'est pas du grand cinoche !

Tony ne rendais jamais les ballons.
Et piquait une crise quand on lui en prenait un !