Dmitri concrétise un rêve, est grassement payé, et joue pour un grand club. Alors il fait la gueule. |
jeudi 13 septembre 2012
Dmitri ALENICHEV
Aujourd'hui, un meneur de jeu. C'est un Soviet, et après 2 petits clubs de sa Russie, le voilà qui enfile le maillot du Lokomotiv Moscou. De 91' à 93', il va s'imposer et s'attirer les plaisirs du Spartak, le plus grand club Russe de l'époque. Au sein du club du peuple, il va connaitre titres, sélections et trophées durant 4 ans. Puis les sirènes de la liberté, du pognon et des Italiennes volages ont raison de lui. Le voilà embarqué à la Roma, dès l'issue de France 98', pour un gros transfert et de grosses ambitions. Le hic, c'est qu'avec ses 28 matchs, il ne mènera pas la Louve au succès. Et son prêt l'année suivante à Perouse est un joli flop. Auréolé d'un des plus gros transfert foireux de la botte, il dégage à Porto en 2000. Ses débuts sont difficiles, mais sa persévérance va finir par payer, puisque l'arrivée de Mourinho lui permettra de remporter la Champion's, et même de scorer en finale. Il s'en retournera heureux au Spartak, pour se finir entre vodka, caviar, chapka et corruption. Dmitri Alenichev, syndicaliste Russe.
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