Quoi qu'on en dise, ça fleurait bon l’escroquerie Brésilienne. |
samedi 8 septembre 2012
CESAR Augusto Belli Michelon
Aujourd'hui, un défenseur carioca. Pas vraiment le profil de Mozer ou Lucio, il débute à Portuguesa avant de prendre, à 24 piges, la route pour Panam'. Le voilà dans la capitale, mais c'est pas folichon, et ses 12 maigres matchs n'arrivent à convaincre personne. Personne si ce n'est les dirigeants Rennais. Qui décident donc d'en faire le pilier de leur défense, pendant que Severino Lucas et Luis Fabiano s'occupent à dégommer les mouettes. Le défense Rennaise souffrira donc durant deux ans, avant que l'ami danseur de samba ne prenne un vol retour pour le Brésil. 2 années plus tard, c'est Tenerife qui décide de convier le bougre dans son marasme footballistique. Encore une pige de 2 ans, et puis un retour définitif aux racines, pour traîner dans 4 clubs différents. Augusto Belli Michelon César vous dit merki.
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