GERARD Lopez

Aujourd'hui, un Gégé. Milieu de fin des années 90', il est formé au Barça. L'école des champions Catalane façonne le bougre, avant qu'il ne s'engage à Valence, hype de ce début de siècle. Mais après une finale de champion's perdue, il est de retour à la maison mère, tel Cesc de nos jours. 5 bonnes années mais jamais vraiment indispensable, il est barré par des Hollandais, des Français, des Espagnols, des Brésiliens. C'est le début de la fin. Monaco tente le coup, au sortir d'une saison exceptionnelle, surfant sur la vague Morientes. Gérard porte alors son nom à merveille. Il sera prié d'aller se péter les genoux ailleurs, à Huelva, puis se finira doucement à Girona.

Il a coûté plus cher en bombe de froid qu'en prime de match...