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jeudi 31 mai 2012

Keith KELLY

Aujourd'hui, on va se marrer. Encore une fois, n'en déplaise aux Parisiens, on va se focaliser sur le flair des recruteurs de la capitale. On est en 2000, et les superviseurs on remarqués un joueur du Championnat du monde U-17. Il est Jamaïcain, joue meneur de jeu, et signe à Panam du haut de ses 18 piges. Sa carrière vient de prendre fin. 2 ans de black-out, un prêt à Mons, un zéro pointé, puis un retour au pays de l'herbe qui se fume. Il enchaînera méforme, dépression, prêt, puis se casse un pieds. Black-out de 2 ans (bis). Rejouera dans 2 autres clubs du pays de Bob (Marley, pas l'eponge, hein !) Keith Kelly, pépite Parisienne.

Vu comme ça, on comprend le Psg.

mercredi 30 mai 2012

Harvey Delano ESAJAS

Aujourd'hui, attention, imposture. Ou comment quelques joueurs font la nique aux agents et clubs. Notre homme est Néerlandais, formé à l'Ajax, il débute pro à Feyenoord. On comprend déjà que le mec est différent.  Avec sa carrure de footballeur américain, il défend comme un bûcheron, éclate la mâchoire d'un pauvre mec en amicale, ne joue que 8 malheureux matchs en 3 saisons, et va enchaîner 3 clubs daubés en 3 ans. Il va faire quelques essais en Italie, mais va finalement faire des piges au Real Madrid B (!!), puis des clubs pourrasses, tels Zamora ou Mostoles. Il arrête sa carrière dégueue, et, par la suite, bosse dans un cirque  puis fait la plonge... Mais il croise son poto Seedorf, qui le fait signer au Milan, pour 1 an, alors qu'il n'a pas touché la balle depuis des années !! Milan prouve sa compassion pour les nuls (Ibou Ba confirme), et le molosse, lui, se fera 2 autres clubs Italiens avant de mettre fin à la supercherie. Harvey Delano Esajas, il aura tout Esajé...

De la plonge au Milan il n'y a qu'un pas,
que Seedorf fait franchir allègrement.

mardi 29 mai 2012

Nii LAMPTEY

Aujourd'hui, attention star. Notre footeux est Ghanéen, et c'est une star à 16 piges. Oui. Le mec fait ses débuts dans les équipes jeunes de clubs Ghanéen, et participe à la coupe du monde des U17 en 91' et est repéré par la moitié de l'Europe. Pelé l'annonce comme son successeur. Début de la fin. Il ne sait pas lire, alors ses contrats sont blindés de saloperies, et lié à un agent pour le moins véreux, il va sillonné le vieux continent, de Anderlecht à Eindhoven, puis Villa, Coventry et Venise. Vous constatez l'évolution négative du niveau... Ses stats son de plus en plus minables, et le voilà qui s'en va à Santé Fé, toujours sur les conseils pourris de son agent, qui finira par lui foutre la paix. Retour en Europe, à Ankaragucu, puis Leiria et Fürth. On est en 02', il est nul, sa vie est dégueu, il change de Continent, arrive en Asie, est nul à Shandong, engrange un peu de thunes à Riyad, et retourne à Kotoko, au Ghana. Mais tente un dernier paris à Jomo, Afsud. Nii Lamptey fait roulé.

Il s'est reconverti dans la balle au prisonnier.
Sur les conseils de son nouvel agent.

lundi 28 mai 2012

RICARDO Lopez

Aujourd'hui, un gardien de but. Le mec est Espagnol, formé à l'Atletico Madrid. Il jouera en tout et pour tout 1 match avec son club avant de partir découvrir les joies de la titularisation avec Valladolid, en 98'. 4 ans plus tard, dans l'anonymat quasi général, un club Anglais, entraîné par un certain Sir Alex. Il est là pour motiver et concurrencer Fabulous Fab, mais ne parvient pas à lui prendre sa place, se faisant griller par Tim "Gilles de la Tourette" Howard. Faut le faire... Il fait partie à jamais de la collection de gardiens peau de pêche de ManU. 3 ans à Manchester, 1 prêt à Santander, puis retour au pays, à Osasuna. Lopez Ricardo, demi-pêche.

Le con s'amusait à la que-leuleu avec les adversaires...

dimanche 27 mai 2012

Salif DIAO

Aujourd'hui, on ouvre une page importante de l'histoire de la ligue 1 (yeux au ciel...). On est en 2000, et un club qui joue en rouge et vert, qui a un sanglier comme emblème, venant tout droit de Ligue 2, se retrouve à jouer les premiers rôles en ligue 1. Avec une équipe de vieux grognards et des sénégalais quasi-inconnus, l'équipe termine 7eme puis 5eme du championnat. Un des grands artisans est le milieu défensif, Sénégalais, une grande tige qui récupère du ballon à la pelle. Faut dire que le bonhomme à déjà connu la Ligue 1 avec Monaco. Fin 02', après une coupe du monde héroïque, le voilà qui rejoint la bande à Houllier à Liverpool. Une fois en Angleterre, il ne va plus en partir, jouant à gauche à droite, de Birmingham à Stoke en passant par Pompey... Jamais vraiment très bon, toujours passable,  Salif Diao le coeur.

Salif se fait un colin-maillard avec les supporters.
En plein match. Le con.



samedi 26 mai 2012

Mihaly TOTH

Aujourd'hui, on fait dans l'original. Le mec est attaquant, Hongrois, et après avoir ses classes à Honved, débarque en Belgique en 97'. 10 matchs, 1 but, c'est visiblement assez pour convaincre une équipe Messine en proie aux doutes. Bingo, le mec se fera 11 matchs pour à peine 3 buts. Il choisi l’exile en 99', et enfile le maillot du club Africain. Le soleil sans doute... Requinqué, il revient au pays, enchaîne 5 saisons convaincantes, et rebelote l'étranger, la Norvège. La neige sans doute... Allez hop, un saut en Hongrie, puis un peu de tourisme en Grèce, avant la fin du marasme au bled. Mihaly Toth, Rubik's footeux.

La semi-rideau / raie sur le côté,
spécialité Hongroise. Servie sans buts.

vendredi 25 mai 2012

ALFONSO Perez Munoz

Aujourd'hui, buteur Espagnol. Pas forcément synonyme de stats de folie, il confirme que n'est pas Raul qui veut. Le coco débute à Getafe, en 85', mais passe très vite du club de la banlieue à la Capitale. C'est dans la réserve du Real qu'il fera ses preuves, puis jouera 5 ans sans jamais éclater les compteurs, à l'image de ses 13 pions en 88 matchs. Salut Madrid, bonjour Séville. Le Bétis le signe en 95', il joue à la pointe de l'attaque, et claque 57 pétards en 152 matchs. C'est assez pour devenir International, et pour convaincre un Barça pas encore mastodonte de le signer. Il arrive d'ailleurs en même temps qu'un gamin Argentin qui à marqué plus de buts en 1 saison que lui sur l'ensemble de sa carrière... Toujours est-il que l'imposture ne dure qu'une année, le temps de faire vibre les filets 2 fois. Il trouve refuge en prêt sur la cannebière, à l'OM, où sa combativité doit faire la différence. 6 mois, pas plus, et retour au Bétis, pour finir une carrière jamais vraiment confirmée... Perez Munoz Alfonso, ça pique et c'est pas du chorizo.

Maigrelet, de traviole, maillot flasque et yeux dans le vide.
Fallait avoir confiance...


jeudi 24 mai 2012

Trop Pressé !!

Ce matin, je suis vraiment dans le jus, pas le temps de faire un article. Je vous propose donc de découvrir une petite vidéo faite il y a quelques temps pour promouvoir mon cher blog.

Les articles ne sont pas nouveaux mais la chanson devrait ravir certain amateurs de football !!

A demain !


mercredi 23 mai 2012

Cyrille POUGET

Aujourd'hui, buteur. On rend hommage à un duo de buteurs des années 95', qui sévissaient en Lorraine du côté de Metz. Les P-P flingueurs, cette doublette prolifique chez les grenats, était composé d'un futur champion du monde et d’Europe Français, et d'un futur ex-ancienne perle ex-futur JPP. C'est cet homme tout blond qui nous intéresse. Après avoir fait vibrer la Lorraine, le voilà qui s'en va dans un grand club, le Servette de Geneve. Euh... Choix de carrière dictée par le chocolat, ou le pognon, toujours est-il qu'il signe finalement au PSG 6 mois après sa fuite en Suisse. Une demie-année douloureuse, où il ne confirme rien. Le voilà au Havre en cette saison 97', animé d'un esprit de revanche. 15 buts en 51 matchs, le tout en un peu moins de 3 saisons. Coup de théâtre en janvier 99', l'OM tente une re-formation du fameux duo. Raté, ces 5 caramels en 1 an, c'est trop nul. Il finira par errer dans des clubs pas beaux, de Bellinzona à la Jeunesse Esh, en passant par l'ASSE. Cyrille Pouget, quiche Lorraine.

L'accueillant championnat Luxembourgeois,
avec collants, ballons oranges, terrains gelés, et nuits à la belle étoile.
Entre Pouget et Vairelles. 

mardi 22 mai 2012

Mark FISH

Aujourd'hui, défenseur à l'ancienne. Un bonhomme SudAf, certainement modèle pour Pierre Issa, il a débuté aux Cosmos, puis a connu les Pirates, avant de découvrir l'Europe, son football agressif, physique, et lucratif. Le voilà qui débarque à l'été 96' à Rome, où la Lazio voit en lui le parfait tuteur à un p'tit jeune du nom de Nesta. Sauf que notre Africain n'est pas bon, est pataud et se tire dès la fin de la saison. Bonjour Angleterre, où il est le joueur le mieux payé de Bolton. Il joue mieux, reste 3 ans, et rêve toujours de ManUtd, qu'il espère rejoindre. Il enfile donc la tunique rouge, mais celle de Charlton, Sir Alex n'ayant pas été assez dupe...5 saisons, un prêt à Ipswich, une rupture des ligaments comme on les aime, et une fin de carrière. Il rechaussera les crampons en 07', soit deux ans après, pour aider les Cosmos. Mark "Big" Fish, où l'étrange carrière de Mr Mark.


Lors de chaque intervention, les adversaires priaient
pour garder leurs deux jambes intactes.

lundi 21 mai 2012

Lucien METTOMO

Aujourd'hui, défenseur Africain. Le robuste central nous vient droit de son Cameroun natal, et s'engage dès ses 19 balais à St Etienne. 3 saisons premières saisons où il va finir sa formation, et découvrir le deuxième échelon national, l'Asse végétant en D2. 99', bonjour Ligue 1, pour 2 petites saisons, puis retour au point de départ. C'est à ce moment là qu'il appose sa signature sur un contrat à entête de Manchester City. Pas le City plein aux as, mais celui qui pourri dans les bas fonds de l'Angleterre. Il y jouera 2 ans, puis découvrira les bas fonds Allemands avec Kaiserslautern, puis le fond du panier Turc avec Kayserispor, et enfin Lucerne, en Suisse, qui joue le maintient. En 07', il s'engage avec les Saints, ne joue pas, puis va s'échouer sur le sol Grec, dans un club qui ne joue rien d'autre que du sirtaki. Lucien Mettomo, d'où la Grèce...

Tétons qui pointes, cordons qui dépassent et balai dans le cul.
Bravo Lulu.

dimanche 20 mai 2012

Lubomir MORAVCIK

Aujourd'hui, Slovaque. Il débute dans sa contrée, y joue durant 7 années, et est repéré par un club Français. Ce sera l'ASSE pour le Slave. On est en 90', et c'est pour 6 ans qu'il s'engage pour les Verts. Malgré des propositions alléchantes de l'OM version Tapie, il ne bougera pas, privilégiant le gèle des hautes plaines bouseuses du Forez aux matinées ensoleillées du Sud de la France. Mais au bout de 6 années, il se rend compte que le grand club qu'on lui a promis de construire autour de lui est un doux rêve, et le club finti par sombrer en ligue 2 en 96'. Finit de faire le con, il se tire au soleil, direction Bastia. 2 saisons correctes, puis bonjour bières, bretzel et blondes à Duisbourg. Mais ça ne colle pas. Au bout de quelques mois, toujours de la bière, mais des rouquines. Bienvenue à Glasgow, côté catho. 4 belles saisons, puis pour le fun, en 02', 7 matchs au Japon. Lubomir-oiter la lune- Moravcik.

Pour sa 1ere conf de presse au Japon, Lubo demande pourquoi
les yeux de ses partenaires sont comme ça. Rude.

samedi 19 mai 2012

Bruce GROBBELAAR


Aujourd'hui, légende. On est en 73', et notre gardien se la joue cool en Afsud. Il connait 4 clubs différents et est signé en 79' par les Vancouvers Whitecaps. Les casquettes blanches vont lui permettre de s'afficher brillamment, car il est prêté à Crewe Alexandra, en Angleterre, durant la trêve Americano-Canadienne. Il y joue à 24 reprises, et plante même un pion sur penalty. Mais l'important est ailleurs. Il est remarqué et engagé par les Reds de Liverpool en 81. Début d'une histoire d'amour de près de 15 ans, durant laquelle notre goal Zimbabwéen joue 440 matchs. Il invente le fameux coup dit "de la guimauve" qui consiste à déconcentrer l'adversaire. Il empochera par la même des titres à gogo, des finales perdues, des distinctions persos. Une totale. 94', fin de l'histoire. Le coco a 37 piges, et va quand même se faire 2 saisons pleines, une a Southampton puis une à Plymouth, avant de se farcir un paquet de club sans même y jouer. Au total 9 clubs, pour à peine 10 matchs. Qu'en y'en a marre, c'est Bruce Grobbelaar !

Avant gardiste, Bruce portait la moustache et le masque en même temps !


Et hop ! Encore un cadeau, le resumé de la champion's 84. Et le coup de la guimauve à 1'45 !

vendredi 18 mai 2012

Ronny ROSENTHAL

Aujourd'hui, je commence par m'excuser pour hier, la journée fériée m'a permis de dormir, mais j'en ai zappé mon blog et les tous les amoureux des footeux crasseux !

Aujourd'hui, un ailier. Israelien, il est formé au Maccabi Haifa, et y joue de 79' à 86'. Il est pas mauvais, et débarque donc en Europe, au Club Brugge, pour 2 ans. C'est une réussite, il est champion et s'offre une demie d'Uefa cup. Dommage, JPP est parti quand il est arrivé... Il s'en va découvrir par la suite le Standard, est plutôt pas mal au niveau des stats mais est prêté la 3eme saison à Udine. Trou d'air. Il va ensuite en prêt à Luton Town, trou d'air bis. On le croit perdu, mais sans qu'on n'en comprennent les raisons, il débarque à Liverpool. Chez les Reds, c'est banco, 8 matchs, 7 patates. Le voilà qui s'engage définitivement sur les bords de la Mersey, en 92', et est le 1er joueur non Britannique à coûter plus d'un million de livres. Bon, une fois le contrat en poche, il ne sera jamais aussi bon, scorant 14 goals en 88 matchs. C'est loin de ce qu'espéraient le coach. Direction Tottenham, 88 matchs, 4 buts, dont un triplé. Dur. On est en 97, il rate encore un Frenchie, en la personne de Ginola, et le voilà à Watford, pour la convivialité des hooligans sans doute. Baissé de rideau en 99'. Ronny Rosenthal, Israel Vibrations.

"Rocket Ronny" n'hésitait pas à arborer un fin mulet
frisouillé avec son maillot rouge "Bonbon"

  Pour me faire pardonner, voilà le chef d'oeuvre de Ronny en Video. Victoire assurée au challenge Téléfoot.

mercredi 16 mai 2012

Ariza MAKUKULA

Aujourd'hui, une fois n'est pas coutume, nous allons nous poiler sur un joueur encore en activité. Il n'est pas vieux, affiche 31 ans au compteur, mais son parcours mérite que l'on s'y attarde. Natif de Kinshasa, Congo, d'une mère Angolaise et un père Congolais, il est Portugais. Formé à Guimaraes, il file en Espagne, à Salamanque, en 2000. C'est un 01', qu'il va éclore, avec ses 21 pions en 34 matchs... de D2. En 02', à 21 ans, c'est un spécialiste du flop en France qui le signe : le FC Nantes. 21 matchs, 1 but. Joli. Suivront un prêt, une tentative de Seville, d'autres prêts, entre le Nastic et Maritimo, et un coup d'éclat ! 7 patates en 13 matchs portugais, c'est assez pour convaincre Benfica version 08' de se laisser aller au plaisir du bonhomme. Vous l'aurez compris, l'échec fut inévitable, son prêt à Bolton fut calamiteux, et c'est la Turqui qui le récupère. Il en est aujourd'hui du côté de Manisaspor, à lutter pour scorer plus de 5-6 pions sur la saison. Ariza Makukula, coucou la voilà !

de gauche à droite :
Ariza, un président tout petit, un aigle.
Le folklore Benfiquiste.

mardi 15 mai 2012

Alberto MALUSCI

Aujourd'hui, on va parler d'un Toscan. Un défenseur central qui débute à la Fio, entre les Batigol, les Effenberg et autres Edmundo. La Coppa Italia 96' en poche, en plus du sacre des espoirs Italiens en Europe dont il fait partie en 92 le propulse droit dans un club plein d'ambitions, qui souhaite une charnière 100% Italienne. L'OM le signe, et le catapulte titulaire aux côtés de Franceschini. Mais soyons clair, il est aussi étanche aux buts que le  mouchoir est étanche à l'eau. Cet échec l'envoie dès la saison suivante en prêt à Foggia, puis à signer définitivement en 98' à Cosenza. Ciao la coupe du monde. Suivra Lecce puis Catania, avant de prendre la direction d'un championnat plus tranquille, la Belgique. Il passera 3 ans en Jupiler League, puis fera un retour en Toscane à la Sagiovannese, histoire de boucler la boucle. Alberto Malusci, mal là-bas.

Son fameux "saut de cabri sur balle arrêtée".
Un must qui a séduit l'OM.

lundi 14 mai 2012

Vitor BAIA

Aujourd'hui, gardien. Le bougre est Portugais, porte les gants comme d'autre portes des lunettes, et ne rechigne pas à la tâche. Mais autant le dire tout de suite, c'est pas un tocard. Quasi 20 ans de professionnalisme, 2 clubs, 3 transferts, et un palmarès long comme le bras d'un orang-outan. Il débute donc à Porto, rafle tout ce qui est raflable au pays de la morue, puis décide en 96' de faire le grand saut pour rafler un trophée Européen. Bonjour Catalogne, blaugrana et compagnie. Mais il va vite déchanter, allant de blessures en déconvenues et bourdaches, puis en perdant sa place de titulaire au profit de Ruud "la boulette" Hesp. Dur. 99', retour à la case départ, les dragons de Porto. Il emportera même la Uefa 03' puis la champion's 04' sous maître Mourinho. Vitor Baia, puis s'assoupit.

Voilà ce qui a déplu à notre ami Van Gaal.

dimanche 13 mai 2012

Mario JARDEL

Aujourd'hui, un monstre. Le serial buteur que toute équipe veut dans son vestiaire. Il est Brésilien, débute au Vasco de Gama cher à Juninho Pernambucano, et grandit au Gremio cher à Ronaldinho. 96', grande année qui lui permet de découvrir l'Europe, au Portugal, à Porto. 4 ans de folies, faite de 154 buts pour 164 matchs. Mais il reste totalement sous-évalué, et malgré avoir été transféré à Marseille environ 29 fois par les supporters, il découvre la Turquie, via le Galatasaray. 33 pions en 41 matchs. Merci. Au revoir. 2001,  welcome back au Portugal, et c'est au Sporting qu'il régale. 67 caramels en 62 matchs. Pan ! Il a du inspirer un certain Cristiano... Mais soyons clair, c'est la fin. Un divorce, une dépression, et une carrière qui part complètement en cacahuète. Je ne vous citerai pas les 14 clubs qu'il va connaitre en 8 ans. Angleterre, Italie, Argentine, Espagne Portugal Brésil, Chypre, Australie et Bulgarie. Le tout pour 89 matchs disputés et 17 malheureux buts. Triste. Mario Jardel, a cause d'une femme...

Comment un mec qui le gagne 2 fois n'a pas jouer le titre en Italie, Espagne ,
Angleterre ou Allemagne ?






Merci à toi l'Anonyme qui m'a poster cette recommandation !!
Mario restera pour moi un des plus grands buteurs de la fin des 90's début des 2000.

samedi 12 mai 2012

Uwe ROSLER

Aujourd'hui, buteur shleu. Un mec qui débute dans les tréfonds Allemands au débuts des 90's, et fait une bonne saison à Magdeburg, plus réputé pour son handball que pour son piedsball. Il découvre un ancien club de légende, le Dynamo Dresde, mais échoue. Direction Nuremberg, même constat. On est en 94', et sans qu'on sache vraiment pourquoi, notre ami à bouclettes se pointe pour un essaie à City, loin des pétrodollars actuels... Il saisie sa chance et se découvre un club et une ville qui le passionne. Sera même désigné "Player of the Year" du club en 95'. 4 ans et 50 pions plus tard, il débarque à Kaiserslautern, champion en titre, mais sera très moyen, et dégage l'année d'après au Tennis Borussia Berlin. Bon, ok. 1 année, 6 caramels pour 28 matchs, et banqueroute du club, qui s’entraînait avec des balles de tennis pour donner un sens à leur nom "à la con". Il retentera l'aventure Anglaise à Southampton, mais c'est suite à une très belle année aussi blanche que la neige qu'il sera poussé dehors, en Allemagne précisément, et finira en Norvege, à Lillestrom, fin 2003. Uwe Rosler à buts.

Oh merde, un Bosch qui fait ce mime, c'est vaseux...

vendredi 11 mai 2012

Thomas GRAVESEN

Aujourd'hui, on se penche sur un serial-killer footeux. Pour les plus jeunes d'entres nous, qui ne connaîtraient pas, il s'agit d'un Danois, formé dans le club de sa ville natale, Vejle, avant de se retrouver fissa à Hambourg. Le parcours est logique, et notre milieu défensif va parfaire sa technique de tacle "à la glotte" combiné aux "savates Danoises", des coups lachés en scred dans le dos, comme un salopio. On est en 2000, il dégage de la Bundesliga et atterrit dans le seul championnat qui lui permet d'exprimer pleinement sa haine et sa férocité. Le voilà à Everton. 5 ans de bons et loyaux services, des tibias brisés, des plèvres décollées et des foies perforés, et sans qu'on sache vraiment pourquoi, le Real Madrid, qui ne sait toujours pas comment remplacer un Makélélé passé à Chelsea, le signe. Sur les terres espagnoles, au milieu des Zizou, Ronaldo, Figo et tutti, il fait tâche, mais on lui demande de faire la sale besogne. Il en est ravi. Mais après avoir dessoudé la moitié du royaume Espagnol, et même attaqué ses propres coéquipiers (Robinho en cauchemarde encore), il dégage 1 an après son arrivée. Direction l'Ecosse. Poète parmi les poètes, il se fera un dernier prêt à Everton, et rangera les armes en 08'. Thomas Gravesen, salami Danois.



Même lui s'aperçoit que ça fait mal,
les tacles dans le dos...

jeudi 10 mai 2012

Dino BAGGIO

Aujourd'hui, rital. Finaliste de la coupe du monde 94', il est bon, mais c'est perso, je n'ai jamais pu l'encadrer... Sa carrière se base sur une usurpation d'identité. Il commence au Torino, et fait vite la connaissance des grands, avec un passage à l'Inter d'un an, puis 2 années à la Juve. Ce n'est pas transcendant, mais il va alors connaitre LE club de sa carrière, là où le jambon est réputé. Chez les Parmesans, où le fromage est aussi une valeur sûre, il va enchaîner 6 saisons, rafler 2 coupes de l'Uefa et une coppa, et se barrer pour la Lazio, qui fait des folies sur le marché des transferts en cette année 2000. Inutile de préciser qu'il ne va pas connaitre les sommets, va faire 2 ans, puis va être prêté aux couilles black des Rovers. Suivront Ancona et Trieste, et rideau. Dino Baggio, sans aucun rapport.

Le vrai portait un catogan.
Et a soulevé le ballon d'or.

mercredi 9 mai 2012

Tore André FLO

Aujourd'hui, Norvège. Faisant partie d'une fratrie de 4 footeux professionnels, il est celui qui connait la plus belle carrière. Après avoir grimper les échelons Norvégiens 4 ans durant, il s'engage en 97' à Chelsea, pas encore Russkoffisé. 3 Belles saisons, mais notre blondinet n'est pas assez bling-bling pour le nouveau proprio. Il est envoyé fissa au Rangers, où il jouera tout aussi bien, et scorera régulièrement. En 02', il tente un retour en Premier league, à Sunderland, mais son année est maussade, tout autant que la météo de la région. Direction Sienne, pour allé se la racler dans le Calcio. 2 ans, peu de buts, malgré beaucoup de jeu, il décide donc de filer dans son pays en 05'. C'est sans compter sur Leeds, qui le signe 1 an après, mais la tige Norvégienne se ramasse. Il tentera Milton Keynes Dons, sans réussite, et vient de rechausser les crampons sur ses terres enneigées. Tore André Flo, footballeur en après-ski.

"Sans les mains !"

mardi 8 mai 2012

Jason EUELL

Aujourd'hui, un buteur anglais. Dans la grande tradition des Shearer, Fowler et autre Owen, il plante des buts à la pelle. Non j'déconne. Il nous vient de Wimbledon, et aurait peut-être du se concentrer sur la petite balle jaune. Formé buteur, il sera replacé milieu au fur et à mesure des années, à la vue de sa finition très (trop) aléatoire. Son passage à Charlton, de 2001 à 2006 est sans doute son meilleur souvenir, mais sa tentative de percer au niveau supérieur fut un échec, lors de ses 17 matchs éclairs à Middlesbrough. Il traînera ensuite dans les bas fonds Anglais, du port de Southampton à Blackpool, sans oublier Doncaster ou un espoir de retour à Charlton. Rien n'y fera. Il essai actuellement, à 35 piges, un come-back au pays de Vinie Jones, à Wimbledon, fort de son expérience internationale pour la Jamaïque... Jason Euell, brêle.

Paolo déclarera qu'il voulait juste le prendre dans ses bras...

lundi 7 mai 2012

EMERSON Moises Costa

Aujourd'hui, une touche de samba. Un milieu de terrain qui nous vient de Flamengo. Il tente sa chance à Coritiba sans succès, et débarque au Portugal, du côté de Belenenses. 2 belles saisons, et le voila qui rejoint en 94' le grand Porto, 2 ans aussi. Et le voilà qui file à l'Anglaise, à Middlesbrough. Une saison pleine, et il bouge encore, pour trouver du soleil aux Canaries, à Tenerife. Et devinez combien de temps ? Et bien 2 ans, pour rejoindre le superDepor, pour autant d'années qu'il a de baloches. Une petite pige à l'Atletico, histoire de faire un bon lit, et il s'en va danser sous la pluie Ecossaise, aux Rangers. Pas vraiment une réussite, donc retour aux pays, au Vasco, pour 1 an. Si vous avez bien suivi, on est 05', et le danseur de Capoeira veut retrouver le sol Européen. Un vol pour la Grèce, une salade à la feta, et 3 clubs Grecs et Chypres en 3 ans. Une fin tout en se tortillant à Madureira, dans son Rio, et il range crampons, pointes, et costumes saillants. Emerson, aucun lien.

Il n'hésitait pas à faire intervenir des amis
 pour des chorégraphies endiablées !

dimanche 6 mai 2012

Benito CARBONE

Aujourd'hui, attaquant / buteur Italien. La grande aventure débute à Turin, au sein du club grenat, en 88'. C'est paradoxalement le seul club, parmi les 17 (!!!) qu'il va connaitre durant sa carrière, pour lequel il ne va pas planter. De 90' à 96', l'ami rital va connaitre un club par an, tout en connaissant une belle ascension, des petits clubs au Napoli puis l'Inter. Mais ses 5-6 buts par an ne lui permettent jamais de percer véritablement. Jusqu'à cette fameuse année 96', et Sheffield Wednesday, qui toc à sa porte, et lui demande de venir scorer quelques pions chez lui, sous les yeux de la belle chouette qui leur sert de logo. Il y restera 3 ans, puis une pige à Villa, 4 buts, et Bradford, Derby et Middlesbrough, pour faire un retour dans sa botte natale en 2002 à Côme, puis Parme, puis Catanzaro, et Vicenza. On est 06', il se fait prêter à Sydney 3 matchs durant, 2 pions, le meilleur ratio de sa carrière. Puis il se la collera peinard à Pavia, 3 années et pis s'en va. Benito Carbone, Car nul.

"La serpillière infernale"
par Benito. 


Un p'tit messages pour vous remercier encore pour vos propositions et vos commentaires !!
Par ailleurs, une pensée pour Mr YEKINI  qui nous a quitté. Chapeau l'artiste !


samedi 5 mai 2012

Alexander MOSTOVOÏ

Aujourd'hui, un Russe. Milieu de terrain de terrain offensif, sa carrière est indirectement liée à l'OM, qui ne cessera de lui jouer des misères. Il régale au Spartak, son club formateur, et est un cadre de l'équipe quand il décide de partir, direction Lisbonne. Car c'est bien beau de jouer pour Moscou, mais se prendre des volées en Chamion's par Marseille, c'est moche. Alors Benfica lui semble la destination idéale pour claquer la bande à JPP. Raté. Benfica n'avance plus. Et notre ami ne joue quasiment pas... Pas grave, il est prêté a Caen, pour être plus prêt de l'ennemi intime ! Il sauve l'équipe de la descente, et marque l'unique but face à qui vous avez...
Il signe dans la foulée à Strasbourg, réalise 2 belles saisons, puis rejoint l'Espagne, et Vigo. Il jouera avec son poto Karpine, mais aussi les Francès Dutruel, Luccin ou encore Maurice. Et se fera éliminé en 1/4 de l'Uefa 99' par son club maudit, l'OM. Après quasi 9 ans de bons et loyaux services, il rechaussera les crampons une dernière fois à Alaves en 2005, le temps d'un match et d'un but. Alexander Mostovoï, must have.

Alexander à connu 3 sélections différentes :
l'Union Soviet', la CEI, et la Russie.
Mais les coiffeurs restaient les mêmes...

vendredi 4 mai 2012

Guy FEUTCHINE

Aujourd'hui, on file droit vers l'Afrique. Sur les terres Camerounaises vis le jour un milieu de terrain qui débute à l'Union Douala, puis découvre le continent Européen et ses KFC tant prisés à... Cracovie. Au Wisla, où il débarque en  96', il ne restera qu'une année puis filera vers un autre club de la ville. Mais la Pologne n'a pas assez de soleil, de niveau et même de black pour qu'il s'épanouisse. Il file tout droit en Grèce, à Giannina 3 années durant puis Thessalonik pour 5 ans. Il ira se faire 2 saisons à St Galle, puis retour sur les terres Hellènes, à Rodou. En 09', on pense qu'il vient se finir à Colmar pour une dernière pige, mais pensez-vous ! Le Camerounais, qui a connu 20 sélections durant sa carrière, signe contre toute attente à Kapaz, en Azerbaïdjan. Guy Feutchine avec des shots d'Ouzo.

Ce n'est pas une blague.



jeudi 3 mai 2012

Laurent ROBERT

Aujourd'hui, un Réunionnais. Un ailier, ou attaquant, peu importe, qui avait la particularité plutôt bien pensée pour un footeux d'avoir une frappe du gauche de mule. Il débute à Montpellier, et en 99', il signe au Psg, alors doté de joueurs incroyables, tel que "Rabe le Lorrain" ou encore "Madar le Gitan", ou bien "Edwin au pieds d'argent", bref, que du lourd. Donc c'est pas la joie, malgré un bon début de saison de notre ami à l'accent sud-créole, qui connait quelques brefs passages chez les Bleus. Il s'en va chercher bonheur en 2001 chez les Magpies, 5 années durant, entrecoupé d'un prête à Pompey. Puis l'appel de la moustache est trop fort, direction Lisbonne, pour un p'tit tour chez les Benfiquistes. Suivra Levante, pour connaitre les joies des salaires non payés, puis Derby et l'exotisme avec Toronto. Il se gèlera les miches 17 matchs durant, avant de se finir à la cool à Larissa. Il tentera bien une dernière pige à Paris, mais même en proposant de jouer gratos, le Psg refusera, c'est dire... Laurent Robert, de son vrai nom Pierre-Laurent Robert, la pierre, l'eau et l'air.

Cassano, Vucinic, Nesta... Ils n'ont rien inventé... 

mercredi 2 mai 2012

Stéphane MAHE

Aujourd'hui, on reste dans le Français, défenseur, formé à l'AJ Auxerre. Un gage de qualité me direz vous, mais malgré ses beaux débuts, le jeune loup se foire sur son péno en 1/2 de coupe Uefa en 93'. Oui, Auxerre à connu une demi-finale Européenne, mais  c'était avant de baser la cellule de recrutement en Pologne. Toujours est-il que notre bonhomme reste l'année suivante, soulève la coupe de France, et signe à Paris ! Au Parc, il joue 1 seule saison, mais c'est la bonne. La défunte C2 lui fait découvrir l'ivresse d'une victoire Continentale, belle revanche pour lui. Mais bon, le PSG à d'autres ambitions, et il fait le voyage jusqu'en Bretagne pour signer à Rennes. Une saison là encore, faite de blessure, de coups durs privés, de non match, et il saute dans un avion pour l'Ecosse. Le Celtic le récupère. Je n'évoquerai pas ses trophées, vu que le Celtic gagne au moins un titre sur 2... 4 ans, puis Hearts of Midlothian, pour rejoindre Gilles Rousset. Stéphane raz de Mahé.

Coiffe aérodynamique, petite moustache de gentleman,
petits yeux "de fouine".
Il se raclait en opel Corsa dans les rues de la capitale.

mardi 1 mai 2012

Franck GAVA

Aujourd'hui, pour fêter comme il se doit la victoire Lyonnaise en "Coupe de France qui rapporte pas un rond", je me dois de vous conter l'histoire d'un mec, milieu offensif séduisant, qui débute à Nancy. Il se fait un nom en Lorraine, puis débarque à Lyon, alors club de seconde zone du championnat, pour parfaire sa technique et distribuer de la passe dec'. Il joue bien, ira jusqu'à revêtir le maillot des bleus, et fait l'écart de trop pour un très bon espoir. Il signe au PSG. Une saison pleine, mais pas assez convaincante pour rester dans la Capitale. Pas grave, Monaco le signe. Mais au milieu de Salif Diao, Pontus Farnerud ou autre Wagneau Eloi, difficile de trouver le bonheur. Il tente de se relancer à Rennes. Mais en Bretagne, il va connaitre blessures, méforme et enfin arthroses aux orteils. Terminé. On plie bagages, on bouffe des crêpes, et on se roule dans le beurre. Franck Gava, gavé.

La double chaîne. Un vrai G.I.
Franckie goes to Hollywood.