Notre homme est Turc, et son profil de buteur renard plait à son club formateur. Il intègre des 14 ans l'équipe A, claque du pions, et se voit transféré à Trabzon à 17 balais. Il ne joue quasi pas. Une année de perdue qui l’amènera tout de même à signer chez le grand Besiktas. A Istanbul, il va jouer de 93' à 99', scorer 148 fois en 198 matchs. Il fait pas les choses à moitié ! Mais en réalité, sa carrière s'est déjà fini en 97', au suicide de sa femme. Car après ses stats en folie, il va réussir l'exploit de revêtir 14 maillots différents en 10 années. Du grand art. Beaucoup de club Turcs, mais aussi de l'Espagnol pour le flamenco, de l'Allemand pour la binouze et même de l'Azeri pour la poilade. Il mettra un terme à ce marasme footballistique en 08', après 168 matchs et 84 pions, dont 35 pour le seul club d’Azerbaïdjan. Oktay Derelioglu, déréglé.
Salade tomates oignons. |
Ah ! Un morceau de choix pour compenser ta longue absence .
RépondreSupprimerDésolé pour l'absence, mais dur dur le boulot...
SupprimerCe sera dur la semaine prochaine aussi ;)
Sur la photo, Derelioglu c est le rouge à gauche. A droite, le rayé, peut-être bien Sergen Yalcin ?
RépondreSupprimerTout à fait probable !!!
Supprimer