Une image pleine de grâce, du sang plein de doping. |
mardi 9 décembre 2014
Tony CASCARINO
Aujourd'hui, un buteur. Irlandais au nom Rital, il commence dans la vie comme coiffeur, puis maçon avant de signer pro à 19 piges en 3eme division. On est en 1981, et le bougre claque 78 pions en 6 années, et signe pour son club de coeur, le Milwall FC, connu pour ses supporters amoureux de la binouse et des bourre-pif. 3 ans, 49 claquettes et le voilà embarqué à Villa pour 15 millions de francs. On est 90'. Une bonne blessure et 11 pétards suivront. 91', l'exil classique du footeux anglais : l'Ecosse. Au Celtic, il marquera 4 misérables buts, puis 8 l'année d'après à Chelsea. En 93', c'est après la déchéance de l'affaire VA-OM, que Marseille lui permet de découvrir le soleil et la D2 Française. Bingo. Le flambeur Irlandais va péter 71 fois les filoches, rester 3 ans, et filer dans le froid Lorrain, à Nancy. 45 buts en 3 ans, une dernière pige ratée au Red Star et puis s'en va. 3 titres de champions de D2, entre France et Angleterre. Et un aveu de dopage sur fond de critiques des clubs Français. Tony Cascarino, faux rouquin vrai poivrot.
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