A defaut de marquer... |
samedi 2 août 2014
Paulo Roberto RINK
Aujourd'hui, un attaquant. Brésilien, formé à l'Atletico Mineiro, il est repéré par Leverkusen dès ses 23 ans. On est en 97, et le voilà qui chasse le but aux côté de Ulf . Mais notre coquin ne plante pas autant que l'espère ses dirigeants, qui voient des cadors claquer du pions en quantité industrielle dans la bundesliga. 52 matchs, 17 pépites. Un prêt s'impose. Le voilà à Santos, dans l'indifférence quasi générale. 12 matchs, pas une caouète. Retour la queue basse. Il refait une période de 2 ans et 52 matchs. Il est en progrès. Il score 18 fois. Halte au massacre. Il est prêté à Cottbus. 19 matchs, 3 pétards. C'est tout naturellement (ou pas) que les patrons de Cottbus le signe définitivement l'été suivant. Envie de perdre du pognon sans doute. 1 ans, 3 buts plus tard, il est expédié à Nicosie. Puis Arnhem, Hyundai, retour à Nicosie, sous 2 tuniques différentes, avant de sombrer à Paranaense. Non sans avoir chopé la nationalité Allemande et d'avoir porté le maillot aujourd'hui champion du monde. 13 fois. Pour aucun but bien sur. Paulo Rink -ompétent.
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