Quelque part entre la peur et le dégoût. |
samedi 9 novembre 2013
John HARTSON
Aujourd'hui, un mec que j'ai cordialement détesté, qui jouait en attaque, en agissant en tant que bulldozer sur les défenses. Gallois, il a débuté à Luton Town, dans les sous-sols Anglais, avant de débarquer à Arsenal en 95', un an avant l'arrivée de Tonton Arsène, qui ne l'aurait jamais recruté. Il dégage en 97', étant remplacer par un certain "Dennis the non flying Dutchman". Autant le dire, Arsenal remplace le boudin par le caviar. Notre bourrin rouquin se retrouve à West Ham, où il va dégommer son coéquipier Berkovic avec un coup de pied dans la tronche. Ce dernier confessera plus tard "si ma gueule était un ballon, elle aurait fini en pleine lucarne". Propre. Après deux ans d'a peu près, il file à Wimbledon, pas pour du tennis, mais bien pour tenter de claquer de la prune. Blessures, méformes, 2 ans pourrasses, et Coventry. 12 matchs, 6 pions, et bonjour le Celtic. 5 ans de rouquins, d'alcool, de jeux de fric, de violence, de tibias agressés, de pions, 146 matchs et 88 patates. Ses 3 dernières années entre WBA et Norwich seront anecdotiques. Pas même un genou disloqué sur une charge brutale... Aux dernières nouvelles, John Hartson avait chopé tumeur au cerveau et cancer aux testicules. Alors je vais éviter de le descendre une dernière fois.
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