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jeudi 17 janvier 2013
Antonio GOUVEIA
Aujourd'hui, un joli spécimen. Le bougre joue au milieu, est Portugais et trainaille sa fraise aux quatre coins du pays du poil jusqu'à ce que, un beau matin de janvier 2000, les dirigeants Montpellierains l'appelle pour lui proposer un contrat. Sans doute le fameux bug de l'an 2000. Toujours est-il que le fanfaron se la colle peinard durant 12 matchs, plant un pion et dégage illico le mois de juin suivant. Retour au bercail. Il va se farcir 7 clubs, et joue encore avec parcimonie a 39 balais. Antonio Gouveia, on sait pas pourquoi.
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