Aujourd'hui, un besogneux. Un mec qui te fait le sale boulot sans rechigner, qui va au charbon, dans le dur quoi. Un mec qui a découané un nombre incalculable de tibia, brisé quelques os, arraché quelques carotides, mais toujours, "dans l'esprit du jeu". A Rome, Milan ou Amsterdam, Aaron Winter, c'est la douce brise dans la nuque avant la faucheuse...
![](https://lh3.googleusercontent.com/blogger_img_proxy/AEn0k_tx9VPTUw1LlyLjOa_4Ye8j2I3tGdErGFF4LKg968ivAeYWGPUuPx-oLZXOMM_j0nN-jEXnn-klOoBdcUQu71xApGYEtf-1Of1VYektVXqrSxfPnOm4Ocl2DpzyPodKY3BDqdsW-Y5kcQLTyIZDygXSyH6Q5GBd2CFF1Q=s0-d) |
Soyons clair : C'était le foot, ou l'épicerie d'en bas. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire