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samedi 10 septembre 2011

Aaron WINTER

Aujourd'hui, un besogneux. Un mec qui te fait le sale boulot sans rechigner, qui va au charbon, dans le dur quoi. Un mec qui a découané un nombre incalculable de tibia, brisé quelques os, arraché quelques carotides, mais toujours, "dans l'esprit du jeu". A Rome, Milan ou Amsterdam, Aaron Winter, c'est la douce brise dans la nuque avant la faucheuse...

Soyons clair : C'était le foot, ou l'épicerie d'en bas.

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